RAPPORT MONDIAL AMNESTY INTERNATIONAL 2013: LE CAS DU DEPUTE DIOMI NDONGALA EN EXERGUE COMME VIOLATION EMBLEMATIQUE DES DROITS DE L’HOMME EN RDC / AMNESTY INTERNATIONAL 2013
RAPPORT MONDIAL AMNESTY INTERNATIONAL 2013
LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO:
Arrestations et détentions arbitraires
Les arrestations et détentions arbitraires demeuraient généralisées dans tout le pays. Les services de sécurité, en particulier la police nationale, le renseignement, l’armée et la police de l’immigration, procédaient à des arrestations arbitraires et extorquaient fréquemment de l’argent ou des effets de valeur à des civils lors d’opérations de maintien de l’ordre ou sur les lieux des postes de contrôle. Dans les provinces de l’ouest du pays en particulier, les forces de sécurité se livraient à des arrestations arbitraires pour satisfaire des intérêts privés ou obtenir des paiements illicites.
Des opposants politiques ont été arrêtés arbitrairement pendant la période qui a suivi les élections. En février, un responsable de l’opposition a été arrêté par les services de sécurité et aurait été torturé et autrement maltraité avant d’être relâché quelques jours plus tard.
- Eugène Diomi Ndongala, un opposant politique, a disparu le 27 juin alors qu’il était en chemin pour aller signer une charte de coalition avec d’autres partis politiques. Il a été remis en liberté 100 jours plus tard, après avoir été détenu au secret par l’Agence nationale de renseignements (ANR), à Kinshasa. Il n’a pas été autorisé durant sa détention à recevoir la visite de ses proches ni à consulter un avocat ou un médecin, malgré les problèmes de santé chroniques dont il souffrait.
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