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UNE ESPECE DE « KABILALEAKS »SUR L’AFFAIRE « EUGENE DIOMI NDONGALA » AVAIT ETE OBSERVEE LORS DE LA VISITE DIPLOMATIQUE DE RAYMOND TSHIBANDA AU DEPARTEMENT D’ETAT AMERICAIN, PRENANT A CONTRE-PIED LES OFFICIELS RD-CONGOLAIS DEMEURES A COURT D’ARGUEMENTS

UNE ESPECE DE « KABILALEAKS » SUR L’AFFAIRE « EUGENE DIOMI NDONGALA » AVAIT ETE OBSERVEE LORS DE LA VISITE DIPLOMATIQUE DE RAYMOND TSHIBANDA AU DEPARTEMENT D’ETAT AMERICAIN, PRENANT A CONTRE-PIED LES OFFICIELS RD-CONGOLAIS DEMEURES A COURT D’ARGUEMENTS

 

En se rendant en visite diplomatique au Département d’Etat Américain, à Washington, le Ministre rd- congolais des affaire étrangères Raymond Tshibanda s’était peut-être mis en tête qu’il aurait été une partie de plaisir. Mais quelle n’a été sa surprise de se voir accueilli par un petit congrès  composé de spécialistes de la défense des droits de l’ homme, de la qualification des crimes de guerre, de la détection de dysfonctionnement de la Justice, de l’observatoire de la gouvernance démocratique, bref de choses liées  aux rates et aux crimes de tous ordres imputés au régime Kabila !

Parti avec ses accompagnateurs pour plaider la cause de la RDC agressée par le Rwanda, Raymond Tshibanda aurait fait face à une atmosphère glaciale au Département d’Etat par ou lui et sa délégation ont été confronté a une espèces de mise en jugement en règle sur le non  respect des droits de l’ homme par le régime politique de Joseph Kabila avec mis en exergue de l’affaire, du meure de l’ activiste des droits de l’homme  Floribert Chebeya Bahizire du 2 juin 2010 et de l’affaire relative à l’enlèvement et la séquestration, le 27 juin 2012, par la police politique kabiliste, du député en fonction, opposant politique irréductible et président du parti politique « Démocratie Chrétienne, DC en sigle, l’honorable Eugène Diomi Ndongala.

Cote « zéro » sur tous ces points, ces délègues du régime politique kabiliste en visite officielle a Washington ont été incapables de défendre le « président » Joseph Kabila dans son statut de justiciable lui accolé au cours de cette espece de mise en jugement en règle et cela à cause d’une trentaine de dossiers  criminels relatifs aux meurtres, aux enlèvements d’opposant politiques ainsi que  de militants de partis de l’opposition politique dont  la disparition d’un grand nombre d’entre ceux-ci a été remarquée.

De plus, la nature illégitime du présent pouvoir d’Etat détenu aujourd’hui par le « président » Kabila en RDC et les résultats de la chaotique et controversée élection présidentielle de novembre/décembre 2011, aurait été évoquée lors de cette rencontre de la recherche de l’appui du gouvernement américain dans le processus de sanctions à infliger  au Rwanda, a cause de sa persistance dans l’agression du Nord-Kivu à travers le M23.

La secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, qui n a jamais apprécié l’actuel système politique en train de gérer les « choses » en RDC et qui est toujours très loin de porter Joseph Kabila dans son cœur, a promis d’aider Kinshasa dans la normalisation du fonctionnement de son appareil judicaire dont les postes de commandement sont actuellement occupés par des « membres de famille élargie » du Chef de l’Etat.

Un confrère américain don nous taisons le nom à sa demande car cousin d’un haut fonctionnaire bien connu du State Département à Washington, a précisé qu’en promettant d’aider Kinshasa à bien faire fonctionner son appareil judicaire, le gouvernement américain tiendrait d’abord à restituer à ce dernier son indépendance par rapport aux pouvoirs exécutif et législatif, et surtout par rapport au « président » Joseph Kabila et à des haut officiers militaires bien déterminés des FARDC auxquels l’on sera obligé a demander des comptes pour des crimes bien connus commis en violation des droits de l’homme et en relation avec l’interminable guerre au Nord et au Sud Kivu. Ou encore en rapport avec l’exploitation clandestine des minerais stratégiques de ces deux provinces rd-congolaises, sous couvert de cette agression rwandaise…

Selon ce confrère, il apparait qu’il c’est du bout des lèvres que les acteur du Département américain ont promis de faire quelque chose en faveur de la RDC dans l’affaire de son agression par le Rwanda, mais sans rien promettre  du tout sur le chapitre des sanctions à infliger à Kigali  à cause de l’implication secrète des autorités actuelle rd-congolaises dans l’entretien du brasier internationalement reprouvée aujourd’hui.

Grand nombre de senteurs du parti Démocrate du Congrès américain, selon le même confrère précité, auraient reçu une grande quantité de données de la part de sources les plus diverses de Kinsahsa, et même des services de renseignements angolais et du Congo Brazzaville, faisant état, les uns que le député national Eugène Diomi Ndongala de la RDC, au demeurant  très malade, risquerait de mourir pendant sa séquestration si aucun traitement médical ne lui est dispensé pour le tirer  du danger auquel il est exposé par les « hommes » de Joseph Kabila qui le tiennent captif ; les autres allèguent qu’un programme prévoyant son assassinat serait déjà à l’ordre du jour  si aucune pression ouverte et sérieuse  n’est exercée, sur le régime Kabila, avant ou pendant le somme de la Francophonie pour la réclamation énergique de sa libération, c’est-à-dire avec menace de sanctions.

Ces sénateurs américains, parce qu’il s’agit ici d’un parlementaire « violé dans ses droits et brimé », seraient déjà en train d’exercer des pression  sur la Maison Blanche pour la pousser à s’impliquer dans cette affaire scandaleuse de rapt étatique d’un député de l’opposition à Kinshasa.

L’Interprète, 12/09/12