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LA MONUSCO EBERLUEE PAR L’INEXPLICABLE VOLTE-FACE DE L’AG DE L’ANR, KALEV MUTOND, A SON ENDROIT, APRES AVOIR ACCEPTE DE LUI FAIRE VISITER SES CACHOTS DU COTE DU FLEUVE CONGO POUR VOIR SI M. EUGENE DIOMI NDONGALA S’Y TROUVERAIT MAIS SANS RIEN FAIRE DU TOUT LE JOUR DIT.

 UN SIGNE QUI NE TROMPE PAS SUR LE SORT RESERVE AU SORT DU DEPUTE NATIONAL SEQUESTRE

LA MONUSCO EBERLUEE PAR L’INEXPLICABLE VOLTE-FACE DE L’AG DE L’ANR, KALEV MUTOND, A SON ENDROIT,  APRES AVOIR ACCEPTE DE LUI FAIRE VISITER SES CACHOTS DU COTE DU FLEUVE CONGO POUR VOIR SI M. EUGENE DIOMI NDONGALA S’Y TROUVERAIT MAIS SANS RIEN FAIRE DU TOUT LE JOUR DIT.

–        A la place, c’est Tryphon Kin-Key Mulumba qui s’est mis à parler là-dessus après que Mende eut refusé de s’amuser éternellement sur ce même registre parce que manquant cette fois-ci d’arguments pour s’y mettre après avoir littéralement épuisé  tout son répertoire de mensonges. Et ce comportement qui est considéré comme « un refus d’obtempéré » de sa part du coté de ses employeurs avec mise en route du processus de son éviction du gouvernement dès le prochain remaniement ministériel déjà visible à l’horizon.

Toutes les chancelleries diplomatiques de l’Occident fonctionnant en RDC n’arrêtent plus de bruire de consternation à la suite de la spectaculaire volte-face de l’administrateur de l’Anr , M. Kalev Mutond, vis-à-vis de sa propre autorisation accordée, la semaine dernière, au staff technique de la Monusco chargé des droits de l’homme d’aller visiter ses cachots du côté du fleuve Congo pour voir si le député  national Eugène Diomi Ndongala, enlévé depuis le 27 juin 2012 en pleine commune de la Gombe, s’y trouverait  et dans quelles conditions il y est détenu mais sans  que rien ne soit plus fait du tout en dernière minute au jour dit.

Ce comportement de l’AG de l’Anr, Kalev Mutond, ayant consisté d’abord en accord donné à la Monusco pour la visite de ses cachots souterrains se trouvant du côté  du fleuve mais qui s’est ensuite mué en refus à la dernière minute, est regardé par l’ambassade de Belgique, et même celle de Suisse et de Turquie, comme une grave contradiction  qui trahit clairement la manifestation de la mauvaise foi kabiliste qui détient bel et bien la personne du député national de l’opposition Eugène Diomi Ndongala mais ne voudrait pas le libérer ou le faire voir à quelqu’un d’autre au cas où il ne l’aurait tout simplement tué ou encore parce qu’encore en très mauvais état physique, et donc imprésentable au stade actuel des choses.

Quel n’a été le désappointement dans la plus part de ces chancelleries diplomatiques étrangers fonctionnant à Kinshasa en voyant, deux jours le pieds du né de l’Anr à l’égard de la Monusco, apparaitre  à la télévision nationale non le traditionnel Lambert Mende Omalanga /Porte-parole du gouvernement kabiliste mais l’inhabituel Tryphon Kin-Key Mulumba, ministre des PTT, journaliste dans l’autre vie, qui s’est mis à parler mais de manière deconsue et chargée de beaucoup de contradictions sur la situation de M. Eugène Diomi Ndongala vis-à-vis de ses geôliers allant jusqu’à confirmer de lui-même, et sans s’en rendre compte, que le concerné se trouverait bel et bien  entre leurs mains  puisqu’il a affirmé  que «  les services de sécurité kabiliste ont vu le député Eugène Diomi Ndongala encagoulé et en train de traverser la frontière d’un pays voisin ».

On sent ici que M Lambert Mende savait mentir avec aplomb mais pas Kin-Key Mulumba qui n’a pas arrêté de verser dans de singulières contradictions autour du même sujet. On sent également ici que le nommé  Kin-Key Lumumba, aussi Ministre  des Ptt et NTIC qu’il ne s’est donné pas la peine d’analyser et de corriger le inepties lui faites parvenir par l’ANR et ne s’est contenté que de le lire.

M. Tryphon Kin-Key Mulumba, dommage qu’il ne soit tout simplement  que professeur de journalisme et non de logique qui est la science du bon sens, s’est abîmé  dans les contradictions suivantes au sujet de l’affaire Eugene Diomi Ndongala :

  1. Il a dit que les services spéciaux avaient vu M Eugène Diomi Ndongala encagoulé en train de traverser la frontière en fuite dans un pays voisin. Et sans toutefois en préciser lequel. Il était donc à pied. Mais, s’il l’on reconnu (chose déjà difficile à comprendre s’il était encagoulé), pourquoi ses services l’on laissé partir au lieu de l’arrêter ? C’est comme pour dire que M. Diomi n’a jamais été recherche et que tout indique ici que le montage du prétendu viol n’est qu’une faible pour le naïfs ;
  2. Comment ce député national, conscient du fait qu’il était sans ressources et sans documents susceptibles de lui permettre de fuir alors qu’un exil se prépare à l’avance sans perdre de vue que l’homme qu’on présente ainsi n’est pas un enfant mais un opposant politique irréductible habitué depuis Mobutu et L-D Kabila à des enlèvements et des arrestations de sa personne ? L’intérêt aurait été pour lui alors qu’il serait exposé aux colères d’une haute  autorité  kabiliste de se réfugier dans une grande ambassade étrangère en RDC ;
  3. Eugène Diomi Ndongala, réputé « assoiffé de parole », n’allait pas se tenir de donner la voix sur sa situation au cas où il se serait exilé à l’étranger ;
  4. L’abondance d’imprécisions dans ces propos de l’Anr mis dans la bouche  du « professeur »  Tryphon Kin Key  Mulumba, et qui a curieusement accepté de se ridiculiser  avec ça, est le propre de ces laboratoire amorphes spécialisés dans la fabrication des mensonges à présenter  sous forme de demi-vérités mais sauf qu’ici tout est grossier et illogique.
  5. Au contraire, tout se recoupe ici avec les éléments circulant depuis le début  dans la plus part des chancelleries diplomatiques à l’étranger fonctionnant à Kinshasa  et considérant que le député  national Eugène Diomi Ndongala a été enlevé en pleine journée dans la commune de la Gombe par des agents de la police politique  de Joseph Kabila qui l’avait « bâché » et donc « encagoulé », pour l’empêcher de crier. Mais voilà brusquement M Tryphon Kin-Key Mulumba répéter exactement la même chose, mais dans le scenario lui suggéré par l’Anr…. C’est comme qui dirait : « Qui s’excuse, s’accuse ».

L’Interprète