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ACTION DE LA MPP AU PARLEMENT EUROPEEN:DISTRIBUTION DU MEMO SUR DIOMI NDONGALA AUX PARLEMENTAIRES EUROPEENS

RD

Congo : Un Député Nationale en danger de mort.

Messieurs,   Mesdames, les Parlementaires.

Veuillez trouver  en pièce jointe le dossier qui concerne  Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA, Député national Congolais en danger de mort. Nous  demandons votre intervention pour exiger la libération de Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA.

Depuis le 9 avril 2013, Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA, Député National Congolais,  est emprisonné illégalement en RD Congo. La vie de Monsieur DIOMI NDONGALA est en danger de mort. Pour exiger la libération du Député DIOMI NDONGALA, son épouse, Madame PATRIZIA DIOMI, de nationalité Italienne,  a entamé une grevé de la fin depuis le lundi 20 Mai 2013 à Kinshasa.

Nous sollicitons de toute urgence un rendez-vous.

Monsieur KUTA RIGOBERT

Président National du PARESO : Parti des Reformes dans la Société.

Chargé des relations Extérieures de la MPP

Tél : 024503730

GSM : 0490190737

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DR Congo: National Deputy in danger.

Gentlemen, ladies, Parliamentarians.
Please find attached the file concerning Mr. Eugene Ndongala, Deputy National Congolese danger. We ask for your intervention to demand the release of Mr. Eugene Ndongala.
Since April 9, 2013, Mr. Eugene Ndongala, Parliament of the DRC who is imprisoned illegally. The life of Mr. Ndongala is in danger of death. To demand the release of the Deputy Ndongala, his wife, Mrs. PATRIZIA Diomi, of Italian nationality, began a collateral of the end for Monday, May 20, 2013 in Kinshasa.
We seek an urgent appointment.
Mr. KUTA RIGOBERT National President of PARESO: Party Reforms in the Company. For External Relations of the MPP Tel: 024503730 Mobile: 0490190737

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DR Congo: Nationale adjunct in gevaar.

Heren, dames, parlementariërs.
Hierbij gaat het dossier met betrekking tot de heer Eugene NDONGALA, plaatsvervangend nationaal Congolees gevaar. Wij vragen uw tussenkomst om de vrijlating van de heer Eugene NDONGALA eisen.
Sinds 9 april 2013, de heer Eugene NDONGALA, het parlement van de DRC die illegaal gevangen. Het leven van Mr NDONGALA is in levensgevaar. Om de release van de plaatsvervangend NDONGALA eisen, zijn echtgenote, mevrouw PATRIZIA Diomi, van Italiaanse nationaliteit, begon een onderpand van het einde voor maandag 20 mei, 2013 in Kinshasa.
Wij zoeken een dringende afspraak.
Mr KUTA RIGOBERT Nationaal voorzitter van Pareso: Partij Hervormingen in de Vennootschap. Buitenlandse Betrekkingen van het MPP Tel: 024503730 Mobiel: 0490190737

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RD Congo: Vice-Nacional em perigo.

Senhores, senhoras, parlamentares.
Segue em anexo o processo relativo Mr. Eugene Ndongala, vice Nacional perigo congolesa. Pedimos a sua intervenção para exigir a libertação do Sr. Eugene Ndongala.
Desde 09 de abril de 2013, o Sr. Eugene Ndongala, o Parlamento da RDC que está preso ilegalmente. A vida de Mr. Ndongala está em perigo de morte. Para exigir a libertação do deputado Ndongala, sua esposa, a Sra. PATRIZIA Diomi, de nacionalidade italiana, começou a garantia do fim da segunda-feira 20 de maio, 2013 em Kinshasa.
Buscamos um compromisso urgente.
Mr. KUTA Rigobert Presidente Nacional da PARESO: Reformas do Partido da Sociedade. De Relações Externas da MPP Tel: 024503730 Celular: 0490190737

DR Congo: Een parlementariër in gevaar

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PRESENTATION DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE  ET PORTE PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP EN SIGLE

Le Député Eugène Diomi Ndongala est né à Sona Bata (Bas- Congo) le 25/12/1962, fils de Gaston Diomi Ndongala (un des pères de l’Indépendance du Congo-Kinshasa) et Elisabeth Dikiadi.

Il a effectué ses études primaires à Matadi et secondaires au Séminaire de Kimvula.

Il a effectué ses études universitaires à Pérouse (Italie) en Histoire et à Rome (Italie) en Sciences Politiques Option de Politique Internationale.

Terminés ses études, il participe à la Conférence Nationale Souveraine dans un groupe de jeunes ressortissants de la diaspora congolaise dénommé «Forces Acquises au Changement ». Il est désigné Ministre de la Jeunesse et Sport au sein de la Conférence Nationale.

Au debout  des années 80 fonde la Démocratie Chrétienne Congolaises, DC en sigle.

Il est désigné Député pendant la transition au Haut Conseil de la République, Parlement de Transition.

Dans deux gouvernements d’Union Nationale il sera Vice-Ministre de l’Economie et des Finances.

A l’entrée de l’Afdl, il fonde le Front pour la Survie de la Démocratie, FSD en sigle, qui réunit un groupe de politiciens qui s’opposent à l’interdiction des activités politiques ordonnée unilatéralement par Laurent Désiré Kabila, les successeurs de Mobutu.

Il publie en 1998 le « Manifeste de la libre pensée politique du FSD » dans lequel il revendique la liberté d’expression et la nécessité, pour le nouveau régime, de mettre en place des institutions politiques qui reflètent une véritable Démocratie pluraliste et représentative plutôt que les Comités de Pouvoir Populaire, CPP en sigle, d’inspiration Libyenne et chinoise que Laurent Désiré Kabila soutient comme seule institution légales du pays.

A cause de sa volonté de ne pas accepter l’interdiction des activités politiques du régime liberticide de Laurent Désiré Kabila, il est arrêté par les services de sécurité plusieurs fois – dés 1997 jusqu’en  2001 presque tous les trois mois. Pour deux fois il est enlève et détenu au secret par les services de sécurité de l’époque, en décembre 1997 et encore en mai 1999.

 L’Union Interparlementaire (UIP)  et Amnesty International, lancèrent deux appels en sa faveur aux deux occasions.

Le régime pro-marxiste de Laurent Désiré Kabila lui reprochait, entre autre, la proposition d’un Forum de pacification et reconstruction de la RDC et la revendication d’un Constitution garantissant les droits civils et politiques des congolais (à l’époque la RDC évoluant sans Constitution Légale).

Le Forum de pacification et reconstruction se matérialisera dans le Dialogue Intercongolais, où il participa en tant que chef de délégation du FSD-Démocratie Chrétienne, dans les rangs de l’opposition politique pacifique non armée.

Il est désigné Ministre des Mines dans le gouvernement issu du Dialogue Intercongolais, dans le quota réservé à l’opposition politique pacifique et non armée.

Il fut candidat Président de la République en 2006 et son parti, la Démocratie Chrétienne et alliés, présentèrent le plus grand nombre de candidats aux élections législatives et provinciales, bien avant  tous les autres partis politiques.

Désigné par cooptation par  les autorités traditionnelle du Bas-Congo « député Provinciale », ne pourra pas siéger malgré la Cour Suprême de Justice ait reconnu la validité de sa désignation au nom des autorités traditionnelles du Bas-Congo.

En 2010, renonce à sa candidature à l’élection présidentielle en faveur d’Etienne Tshisekedi, le leader historique de l’opposition politique pacifique en RDC.

Depuis 2010, il organisa différentes manifestation politiques pacifiques afin de revendiquer la transparence du fichier électoral, pour la tenue d’élections démocratiques et crédibles

Elu massivement en 2011 Député National dans les rangs de la Démocratie Chrétienne, dans la circonscription de la ville de Kinshasa,  pour protester contre la fraude électorale massive ayant caractérisée les élections tant législatives que présidentielles, ( tout en validant son mandat en tant que député élu) , il décida de respecter le mot d’ordre du Président Etienne Tshisekedi du boycott de l’Assemblée Nationale, ne pas siégeant et revendiquant, au même temps, un Dialogue Politique qui traite de la crise de légitimité qui continue à miner la crédibilité des institutions politiques en RDC.

En Avril 2012, en alliance avec l’Udps d’Etienne Tshisekedi, il lance la plateforme Politique « Majorité Présidentielle Populaire », MPP en sigle, une plateforme politique réunissant 60 partis et organisations de la société civile.

La veille de la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, le 26/06/2013, le régime Kabila lance un montage visant à l’éliminer physiquement, au siège de la Démocratie Chrétienne.

Echappé au montage, il sera enlevé le lendemain et détenu au secret pendant trois.

Pendant sa détention au secret, le régime kabila lança une véritable campagne de dénigrement personnel l’accusant sans preuves d’un délit de mœurs afin de salir son honorabilité et entacher sa popularité

Libéré à la veille de la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa, à titre de décrispation politique, il sera opéré le 18/10/2013 à cause des  séquelles physiques de sa détention au secret.

Après sa convalescence, il reprendra en janvier 2013 ses activités politiques.

Il sera encore enlevé la nuit du 08/04/2013 et depuis détenu à la Prison CPRK de Kinshasa, où il demeure malgré deux ordonnances de la Cour Suprême aient ordonné son assignation en résidence, un député National ne pouvant pas, selon la loi congolais, être détenu en prison en détention préventive.

Le 11/04/2013, le Ministre des affaires Intérieurs apparait à la télévision nationale pour présenter 13 individus  dont 1 membre de la DC et 2 de la MPP enlevés et détenus au secret depuis le 18/01/2013, les indexant comme les membres d’une conspiration appelée par lui-même « Imperium » qui aurait dû attenter à la vie de Joseph Kabila à travers les armes suivantes : 1 machette ; des bouteilles en plastique présentées comme des « Molotov », des mousses de matelas ; des téléphones portables de marque Motorola.

Malgré le caractère risible de la présentation, le Ministre de l’Intérieur accusé publiquement et sans preuves le député Diomi Ndongala de l’organisation de cette « conspiration » invraisemblable.

Depuis, le Député National Eugène Diomi Ndongala est soumis à un régime carcéral très dur, à la limite de la torture alors qu’il est détenu illégalement en prison, à cause de ses opinions politiques.

 Démocratie Chrétienne