Réaction de Me Marie-Thérèse Nlandu face à l’enlèvement d’Eugène DIOMI Ndongala
1.Diomi est enlevé, lisons-nous depuis le matin du 27 juin 2012, jour de la signature de la charte MPP( Majorité Présidentielle Populaire).
2. Ultimatum est donné au pouvoir de Kabila de rendre Eugène Diomi Ndongala à la liberté.
Quelle que soit l’infraction prétendument commise, c’est à la justice de poursuivre et de juger comme cela est bien prévu par la constitution congolaise référendaire adoptée et consentie par le pouvoir Kabila.
C’est le parquet ( Ministère public ) qui poursuit sur base d’un dossier répressif pré-juridictionnel et le tribunal ou la cour juge en audience publique, le prévenu ou l’accusé étant présent à l’audience en principe.
3.Si Diomi n’est pas remis à la liberté immédiatement dans deux jours maximum, nous serons fondés d’anticiper auprès des instances internationales que le pire lui est arrivé, c’est-à-dire l’assassinat comme ce fut le cas de Floribert Chebeya, Bazana, Maheshe, Franck Ngyeke et autres dignes fils du Congo.
4. Le premier ministre Matata Ponyo, les ministres de l’intérieur et de la Justice , le parquet de la Gombe ou même le parquet général de la république, ont l’obligation de dire au peuple congolais où se trouve Diomi Ndongala en ce moment? Qu’est-ce qu’il subit dans son chef? A défaut, eux aussi comme J.Kabila seront poursuivis pour complice d’enlèvement d’un homme politique, Diomi Ndongala.
Et s’il est libéré, des soins de santé doivent lui être pourvus à charge de la république. A défaut, la RDC sera également poursuivi devant de instance compétentes.
5.La banalisation de la vie humaine et de la liberté doit prendre fin au Congo, banalisation devenue un art terroriste de gouvernance.
6. L’Occident en soutenant pouvoir Kabila, devient chaque jour complice de la mort de plus de 5.000.000 de morts qui pèsent sur J. Kabila, de plus de 500.000 femmes et enfants violées au Congo dont au moins 48 par jour, et cela depuis 1996, année de l’invasion du Congo par le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi. Joseph Kabila, alias Hyppolite Kanambe, de son nom rwandais, a fait partie de l’organisation formée par ces pays et leurs armées sous le label AFDL au moment de l’invasion. Il est devenu président du Congo, en janvier 2001, de la manière la plus obscure, après l’assassinat de l’ancien président autoproclamé Laurent Désiré Kabila, son père présumé, en mai 1997.
Depuis, il peut enlever, tuer, arrêter arbitrairement, organiser des fraudes électorale massives, il peut être reconnu président. Ainsi en a décidé l’Occident, le peuple congolais étant sans voix ni droit.
7. La justice est un droit fondamental de tout citoyen aujourd’hui dans un pays du 21ième siècle, y compris la RDC.
Les règles reconnues en la matière doivent impérativement s’appliquer dans tous le cas, y compris celui de Diomi Ndongala, un être libre, dont les aller et venir ne peuvent être entravés que par la loi, telle qu’évoquée ci-dessus.
En regard de la déclaration des droits de l’homme de 1948, ratifiée par le Congo, aucun pays y compris le Congo, ne peut en passer outre, sans énerver le droit judiciaire ou pénal aussi interne qu’international.
8. Le Congo n’étant pas encore libre ni indépendant, il urge aux filles et fils du Congo de le rendre libre, indépendant et responsable. C’est aussi un droit fondamental dont il faut non seulement jouir mais aussi exercer.
Fait à Londres le 28 juin 2012
Me Marie-Thérèse Nlandu
Human Rights lawyer
Amnesty International Prisoner of Conscience 2006/7
Kaniama aza congolais te.Mboka ekomi na maboko ya ba rwandais ba botoli yango.Baza koboma biso lokola ba soso.Baza koyiba pe koboma economie ya mboka.Ba mama oyo babotaka biso na kongo bazali kotalisa bango ba pasi ya denge nionso;viol en réunion chaque heure.Ndenge nini NYAMA oyo soki aza vraiment kongolais azui ordre ya monguna rwandais po aboma mwana mboka NDONGALA lokola ye.Nakanisi NYAMA oyo aza kongolais te!
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Kanyama esr en danger ! Comme il sait ou se trouve le DEPUTE NDONGALA et comme il n’est plus capable de justifier sa disparition aux yeux du monde Kabila sera bien obligé de faire taire son associé esprit de mort,un kanyama car le problème de kanambe dans ce pays c’est que lorsqu’il vous charge de tuer une personne si vous n’avez pas reussi il vous fait disparaitre aussitot et la mort de joseph désiré kabila en est la preuve et plus grave encore comment après avoir assassiner un homme et tu continu toujours de porté son nom alors que tout le monde sait que tu t’appelle kanambe né des parents tushi rwandais et qu’au congo pour etre president il faut avoir au moins un parent congolais,une personne qui n’a meme pas un parent congolais ne peut pas occupé le poste d’un president de republique,l’imposteur kanambe doit etre apprehendé et jugé non pas par une CPI mais par le peuple du congo c’est une façon de rendre hommage aux fils et filles du congo assassinés par cet IMPOSTEUR RWANDAIS !!!
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Well done Jacques.
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