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VOICI LE MESSAGE POSTE LE 26/08/2012 PAR DJAMBA YOHE, UN PROCHE DE FEU GASTON DIOMI NDONGALA

———- Forwarded message ———-From: Kiassi <kiassi_mb@yahoo.com>Date: 2012/8/27Subject: [lecridesopprimes] Fw: DIOMI EST MORT CETTE NUIT À LA SUITE DES MAUVAIS TRAITMENTSTo: lecridesopprimes@yahoogroupes.fr

Kiassi M.
— En date de : Lun 27.8.12, visitation@rogers.com <visitation@rogers.com>a écrit :

De: visitation@rogers.com <visitation@rogers.com> Objet: Fw: DIOMI EST MORT CETTE NUIT À LA SUITE DES MAUVAIS TRAITMENTS À: « Émilie Kolokey » <emilikolokey@yahoo.fr>, lawrence.kitoko@hotmail.com, « Jean-Louis Mwembie » <jeanlouis14@hotmail.com>, mmiatudila@hotmail.com, « Shindano Guylain » <shindano@rogers.com>, « Gilbert Teuwen » <ateuwen@rogers.com>, « Kiassi » <kiassi_mb@yahoo.com>, « Mbuyu Yohé » <jamaagreen@yahoo.fr>, yajovin52@ymail.com, kiantede_p_nzogu@yahoo.com, « Lucie Deckeyser » <Decklili@hotmail.com>, « Nico Minga » <mingstones@yahoo.com>, « Freddy Kabongo » <presidencecococt@hotmail.com>, « Richard Kasongo » <ezabien1@hotmail.com>, « Rolain Mena » <menarolain@yahoo.fr>, visitation@rogers.com, ibukasa@hotmail.com, « DJAMBA Marie-Adelaide » <marieadelaide.djamba@pdos-sdpsp.fgov.be>, « evariste mpwo » <mmpwo@hotmail.com>, « Evariste Boshab » <evaristeboshab@yahoo.fr>, « Emmanuel ELOKO Owanga » <emeloko@hotmail.com> Date: Lundi 27 août 2012, 6h52

On l’a tué « Eugène Diomi est mort » cette nuit
il était battu, empoisonné et séquéstré
au sous-sol du Palais de la Nation

Sans résistance Eugène Diomi peut

disparaître à tout jamais de la RDC

http://www.youtube.com/watch?v=8wu6iRPs-yM

(Cliquez dessus et Écoutez parler Eugène Diomi)
PRÉAMBULE
   Il est une chose que je tiens pour acquis de la personnalité de votre époux, c’est le courage, cette force intérieure héritée de son père « Gaston Diomi Ndongala », ce grand politicien que les annales de notre histoire retient comme « Héros de la guerre du Pacifique » avec le futur Général Victor Lundula et futur Président de laCroix-Rouge du Congo, Philippe Lomboto. Cet homme, j’ai cité, Gaston Diomi, disais-je, est le premier « Bourgmestre de la Commune de Ngiri Ngiri » au Congo-Belge, ce n’est pas peu dire ni faire. C’est en sa mémoire que je soulève mon stylo pour demander à votre grâce et la disponibilité de ceux qui vous entourent de faire un « Sit in », le 9 août 2012, devant le Palais de la Nation pour exiger la libération immédiate de votre époux. En effet, je porte à votre connaissance que cette date-là du 9 août 1922 n’est pas des moindres, c’est le jour de naissance du « Fondateur du clan Moderne des Diomi ». Ce jour-là, il répartissait sa journée en plusieurs séquences pour vivre l’effectivité de son existence avec l’intensité de l’anniversaire de sa naissance. 
    Bien plus, j’avais la chance de le rencontrer quelques heures pour discuter avec lui du « Sens et la valeur de la vie », sens civile, politique et spirituelle. Gaston Diomi Ndongala était très croyant, il aimait Dieu, le Christ et la Vierge marie dont il a fait un « Ex-Voto » à sa tombe dans sa propriété de Luila (Ex Wolter). Cet homme d’État avait horreur du déshonneur et de l’offense. Si « Gaston Diomi » était vivant et témoin de ce qui arrive à son fils, ce bon père se serait levé pour dénoncer les violations de droit qui s’acharnent à pleuvoir sur son fils comme un cyclone qui ne trouve pas de terre pour achever la violence de son tourbillonnement. Bien sûr, cette qualité-là, chez Diomi père, ne serait pas seulement un don offert uniquement pour la libération de son fils, Loin de là. Diomi Ndongala père disposait son être à servir tout le monde, car sa devise latine était : « Cuius est solum eius est usque ad coelum et ad inferos », cette devise est militaire émanant de Jules César ou un de ses généraux. Il sera difficile à un tyran de fermer la bouche à un Diomi. Source : Djamba Yohé à Madame Patrizia Diomi, le 7 août 2012, Ottawa, Canada
I.    EUGÈNE DIOMI EST MORT CETTE NUIT
       SUITE AUX MAUVAIS TRAITEMENT
       (Cliquez et Écoutez Madame Patrizia Diomi)
PEUPLE DU VENDREDI SAINT
PEUPLE CONGOLAIS MARTYR,
Madame « Patrizia Diomi » épouse du Député battu à mort
    J’ai la grande tristesse de vous annoncer le décès d’Eugène Diomi survenu au coures de la nuit du 25 au 26 août 2012 dans son lieu de captivité qui n’est autre que le « Palais de la Nation ».  Le prisonnier de « Joseph Kabila » y a subit des sévices graves, on l’a battu dès le premier jour de son arrivé dans ce lieu de détention, on l’a torturé en le mutilant au sexe et en introduisant un stick cotonné dans le canal pénien (pénis) pour infecter son organe génital au moment d’évacuer l’urine.  À cette persécution, on a fait boire à « Eugène Diomi Ndongala » de l’urine puis on l’a ligoté avec des cordes qu’on appelle « commande ».  Aussitôt attaché, on lui a versé de l’eau froide sur le corps pour empêcher son sang de bien circuler.  Cette punition est courante à tous les prisonniers d’opinion et chez les militaires que l’on soupçonne d’être de mèche dans un complot contre le pouvoir exécutif, entendez ici la Présidence de la République.
    Pour connaître le lieu de la détention de Diomi après qu’on l’eut cherché partout sans le trouver, sa famille m’a demandé par téléphone si je connaissais d’autre lieux secrets de détention en République Démocratique du Congo.  Là-dessus, je n’ai pas hésité de leur communiquer tous les différents endroits qui servent de prisons inconnues à la population et même aux Services judiciaires et pénitentiaires.  En effet, quand j’étais jeune « Gaston Diomi », le père d’Eugène Diomi, m’a montré les différentes prisons souterraines de la ville de Kinshasa en vue de me préparer à ce qui pourrait éventuellement m’arriver lorsque je serai impliqué en politique d’une manière dérangeante contre le Pouvoir tyrannique qui serait celui qui est aux commandes à la tête de la RDC.
    Pourquoi Diomi m’a-t-il montré cela ?  Ce fut à la suite d’une question que je lui avais posée sur le 4 janvier 1959 et sur l’emprisonnement quasi-arbitraire, comme celui d’Eugène Diomi actuellement, opéré par Mobutu entre le mois de mai et de novembre 1966.  Ce dernier accusait Diomi de comploter contre lui, mais la vérité était que Mobutu voulait casser la force économique des hommes d’affaires du Bas-Congo (Kongo-Central).  Ces hommes d’affaires visibles du Bas-Congo étaient :
  1. Augustin Dokolo ;
  2. Nzeza-Landu ;
  3. Augustin Kisombe ;
  4. Philémon Madudu (quoi que Ministre) ;
  5. Apenela, etc.
G. Diomi Ndongala père de E.Diomi, 1977
Condamné dans les mêmes conditions, 1966
    Ces hommes-là étaient très riches et le commerce dans la province de Kinshasa et du Bas-Congo dépendait entièrement de leurs initiatives personnelles.  En ce moment-là, Gaston Diomi était le concessionnaire des véhicules Peugeot, comprenez les voitures et les (kimalu-malu), le concessionnaire des batteries d’automobile de marque « Varta », le concessionnaires des moteurs hors-bord et des vedettes fluviales de marque « Johnson ».  Enfin, comme médecin, Diomi était l’importateur exclusif du « Rawlfira ».  C’est une plante à la base de laquelle les pharmaciens fabriquent le médicament de l’hypertension.  Et pour couvrir tout ça, Diomi avait des banquiers privés à lui qui n’étaient pas des banquiers congolais mais grecs.
    Or, dans ses premières années de pouvoir à la présidence de la République, Mobutu avait peur des anciens politiciens de la Table Ronde.  Et, à cette crainte, s’ajoutait toujours cette méfiance de « Bakongo » dont Mobutu redoutait une action souterraine contre son pouvoir.  Ce n’est pas pour rien d’ailleurs que « Monsieur Alexandre Bamba » a été condamné à mort et pendu le 2 juin 1966, le Jour de Pentecôte, à Kinshasa.  Le projet de démanteler la force économique du Bas-Zaïre a fini par être exécuté, c’était le 30 novembre 1973 avec « les mesures de la zaïrianisation ».  Kisombe s’est vu arracher sa grande compagnie de « l’UZAM » soit Usine Zaïroise de Meubles de Kingabwa près des Usines des véhicules FIAT et Dokolo s’est fait arracher la « Banque de Kinshasa » qui est le sommet du travail qu’il a entrepris pour s’affirmer dans les affaires après avoir noué des grandes relations économiques et d’affaires, avant le Gouvernement Congolais au Brésil, en Argentine, au Canada, au Japon et en Inde.  Le reste de l’histoire sur la Banque de Kinshasa, sa banque, c’était des pièges pour l’écarter définitivement de cette Institution.
    La rétrocession de la Banque de Kinshasa à Dokolo n’aura été, autour de 1976, qu’une formalité puisque le fond de roulement stratégique avait déjà été volé par les acquéreurs qui prirent possession de cette Institution bancaire en 1973.  Dès lors, Mobutu cherchera des problèmes pour salir et accuser Dokolo de malversation financière dans sa propre banque.  Cette affaire, pour quiconque veut regarder rétrospectivement l’histoire de la Banque de Kinshasa, celui verra que le Président Mobutu a tout simplement cherché à s’extirper d’un tort qu’il a causé contre Dokolo et pour lequel il se trouver un exutoire.  Se trouvant en position de force, avec les combines d’un suivi qui simule la vérité, Dokolo s’est retrouvé dépouillé de toute sa fortune.  En fin de compte, celui-ci a été traduit en justice par la clientèle par le Banque de Kinshasa.
    Quant à Augustin Kisombe, pour faire suite à l’infortune de son confrère Dokolo, celui-ci n’a eu de salut que dans le choix de faire de la politique une seconde carrière,  En effet, lors de la rétrocession de l’UZAM, Kisombe n’avait plus d’argent d’envergure industrielle et d’affaire.  Mal lui a pris, ce dernier a vendu les actions de sa compagnie aux hommes d’affaires libanais qui en sont devenus les actionnaires majoritaires.  Par ailleurs, Mobutu a bloqué le mécanisme de circulation et de distribution de services et de biens de Kisombe à travers la chaîne des magasins « Nsadisa » éparpillés sur toute l’étendue de la République.  Au final, Augustin Kisombe a déposé les armes pour devenir définitivement un politicien du MPR.  Bien entendu, cela ne s’est pas fait sans libéralité, Augustin Kisombe a donné à la République plus de « 12.500 maisons » de son commerce inter-provincial pour l’intérêt du peuple congolais.  C’est cela la triste histoire de la déchéance économique des ressortissants du Bas-Congo.  J’ai connu Dokolo quand j’étais jeune, c’est lui qui m’a donné la phrase « Qui dit Dokola est pour la Congo, qui ne dit pas Dokolo est contre le Congo ».  De la même manière, quand je voulais me faire élire « Qui dit Djamba est pour le Congo et qui ne dit pas Djamba est contre le Congo ».  Cette formule m’avait réjoui.
Augustin Dokolo qui dit Dokolo est
pour le Congo et qui ne dit pas …
    Ce même schéma de destruction des Congolais, ici c’est dans leur ensemble, est celui que Joseph Kabila suit pour détruire toute l’élite congolaise et sa jeunesse montante.  Il était impérieux pour moi de raconter cette histoire pour revenir « au décès d’Eugène Diomi ».  Oui, « Eugène Diomi est mort », ne vous trompez pas, exigez qu’on le montre s’il est encore vivant.  Les prisons secrètes que je connais dans Kinshasa, que l’on m’a fait découvrir par Gaston Diomi et Isaac Kalonji Mutambayi sont :
  1. Le sous-sol du Palais de la Nation ou l’ancien Parlement ;
  2. Entre l’Avenue des Aviateurs, devenue sans doute Mfumu Lutunu et le Ministère des Anciens Combattants autour du Parlais de la Nation, ancien Parlement ;
  3. Dans le sous-sol de la Banque Centrale du Congo, ex-Banque du Zaïre ;
  4. Sous le building administratif qui fait face au Centre inter-diocésain ;
  5. Sous le Palais de la Justice qu’entourent le Ministère des Affaires Étrangères et l’ex-Athénée de la Gombe ;
  6. Sous le building Onatra ;
  7. Au Camp Lufungula ;
  8. Sous les bâtiments de l’auditorat militaire au Camp Kokolo ;
  9. Dans l’ex-Deuxième Cité de l’OUA ;
  10. Au Camp Para-Commando de Djelo-Binza, tout prêt de l’ex-IPN, aujourd’hui Université Nationale Pédagogique, je pourrais en dire plus, mais j’arrêt là.
    Pour ce qui me concerne particulièrement, dans ce scandale du décès d’Eugène Diomi, je vous convie d’aller vous renseigner chez les spécialistes de détentions arbitraires, au sein du Gouvernement, vous apprendrez que Diomi a été détenu au Palais de la Nation.  Cependant, cette détention n’a pas seulement été fixe, les plus bavards des Services de Renseignements de la Sécurité Congolaise racontent que Diomi a été amené devant Kabila à sa résidence de « Kingakati ».  Là, on l’a insulté et Kabila l’a battu, puis, il paraît que Diomi a été amené dans l’Est de la République Démocratique du Congo, probablement au Rwanda, devant Paul Kagamé qui lui aurait promis un sort comparable à celui de « Floribert Chebeya ».  Cela se serait passé quand Joseph Kabila voyage pour rencontrer Kagamé et Museveni.  Je ne mens pas, cette nouvelle je l’ai reçue des personnages qui sillonnent les geôles de la RDC.  Essayez seulement de demander qu’on vous le montre s’il est encore en vie.  Toute la crainte de voir ébruiter cette affaire effraye Joseph Kabila parce que « La Conférence de la Francophonie » d’octobre prochain, à Kinshasa, ne pourra plus avoir lieu dans la capitale congolaise.
II.    LE COMBAT QUI EST À FAIRE
PEUPLE DU VENDREDI SAINT
PEUPLE CONGOLAIS MARTYR,
Didier Reynders a-t-il étudié la littérature belge sur Verhaeren
Pourquoi se faire si petit parce qu’il est Vice-Premier Ministre
     Ce Premier Ministre porte le vice au lieu d’être vice comme l’adjoint de « Elio Di Rupo ».  Voilà l’homme, un Belge qui va s’accroupir devant un tueur et un assassin.  « Didier Reynders » ne dira pas qu’il n’a pas lu le rapport des Experts de l’ONU divulguée par la MONUSCO malgré elle et interdit de publication intégrale par Washington.  C’Est tellement honteux de voir un homme qui a si haut grade être un petit monsieur qui salue la main de l’homme qui a le sang de plus « Six millions de Congolais » sur les mains.  Quels sont les succès de ce voyage ?  Seul Didier Reynders va le dire, mais c’est dégradant d’être allé à Kigali.  Paul Kagamé a regardé le « Vice Premier Ministre belge » comme un petit monsieur de la « Commune de Kibuye ».  En tout cas, « le Grand Paul Henri Spaak » ne se serait jamais permis de dépenser l’argent des contribuables du « Royaume Fédéral » pour se rendre ridicule à plus de 5000 km de voyage, au bureau de celui qui fait violer les femmes, les enfants et les nourrissons.  Didier Reynders s’Est fait enfermé dans un cercle d’hypnose.  Tant pis pour lui et sa petitesse vice-premier ministérielle dans un pays poids lourd à l’OTAN.  Revenons à l’histoire de l’assassinat de Diomi.
    Je ne fais pas un message de relais de communication entre ce qui s’est installé entre « Démocratie chrétienne » de Diomi et l’UDPS.  Je fais écho de ce qui malmène un Patriote que le mal être de son pays ronge.  Certes, Diomi a parlé dans la cassette que j’ai placé en exergue avec un langage mettant en relation la Convention de son Parti et celui du « Lider Maximo ».  Que l’on ne s’agite point parce ceux qui verront d’un mauvais œil ce compte-rendu qui n’est que « Tout Diomi et avec Diomi ».  Il est tout à fait normal pour deux politiciens qui collaborent de demeurer fidèles à leurs engagements réciproques.  Ce qui m’importe, c’est le message du discours d’Eugène Diomi à la Nation Congolaise.  Ce discours que j’ai affiché en lien internet sous la photo de Diomi est ce message qui l’a condamné à mort et ce abstraction faite de sa coalition avec tout mouvement politique et populaire allié à sa Convention avec l’État de lieu en RDC.  Eugène Diomi, par ce discours, réclame sans faux-fuyant un État de droit avec la résonnance des discours de la Place de la victoire en 1958, lorsque son père revient d’Accra avec Lumumba, ce discours est également celui du 4 janvier 1959 à la même place, car c’Est cet endroit là que l’indépendance du Congo s’est joué contre l’Establishment du Congo-Belge.
    En somme, Eugène Diomi appelle la République à se réveiller et à agir comme un seul homme contre la séquestre de la RDC par le « Rwanda de Paul Kagamé ».  Ce bourreau des masses, aidé en cela par les interventions inappropriées de certains lobbies malveillants, surtout par Ministre des Affaires Étrangères interposé, lequel arrive à Kinshasa et achève son périple de la honte à Kigali pour flatter le tueur qui a exterminé les Congolais et son propre peuple.  Le Ministre belge des Affaires Étrangères, « Didier Reynders » est de ceux-là.  Piqué par le besoin de s’exporter avec des solutions qui ne sont que ses propres désenchantements, Didier Reynders, sans aucun mandat de la part des « Congolais » ni des « Belges » d’ailleurs, sauf d’Elio Di Rupo, sans doute, arrive à Kinshasa pour obliger les Congolais à se plier au désidérata de Paul Kagamé qui s’interpose comme interlocuteur dans une machine de guerre dont il s’expurge en renvoyant ce problème aux Congolais, mais se veut partie prenante dans la résolution du conflit.  Et comme il est craint, lui qui a assassiné les 10 paracommandos belges, la Belgique par Didier Reynders va s’adresser à son patron de Kigali en terme d’allégeance et de garçon de course.
    Est-il honorable à Belge d’un gouvernement, membre de l’OTAN, d’aller ainsi se diminuer devant un tueur des femmes, des enfants, d’un peuple et commanditaire des viols jusqu’aux enfants de quatre mois, sinon d’un jour.  Qu’est-ce qui manque à la Belgique de demander à l’OTAN d’agir contre le « Rwanda de Paul Kagamé » comme elle le fait contre la Syrie.  Est-il impossible à la Belgique de parler fort contre l’ONU qui laisse les criminels avancer et prendre du terrain au Congo en envahissant le Nord-Kivu contre toutes les règles du Droit international et de la « Charte des Nations-Unies » ?  À la place, Monsieur Didier Reynders, qui voit dans les Africains des sous-hommes s’en vient au Congo, après avoir légitimé la fraude aux élections en poussant son gouvernement de reconnaître « Joseph Kabila », pour exiger que les Congolais devraient s’accorder avec le Rwanda.  Est-ce que la Belgique, en 1940-1945, voire en 1914-1918 s’était-elle ainsi fait dicter la loi du plus fort ou de celui qui agit avec brutalité sur le terrain ?  Nous n’avons pour preuve du patriotisme belge que ce texte intitulé, « À la Belgique » d’Émile Verhaeren tiré de « Les ailes Rouges de la guerre »:

Hélas, depuis les jours des suprêmes combats, Tes compagnes sont la frayeur et l’infortune ; Tu n’as plus pour pays que des lambeaux de dunes Et des plaines en feu sur l’horizon, là-bas.

Anvers et Gand et Liège et Bruxelles et Bruges Te furent arrachés et gémissent au loin Sans que tes yeux encor vaillants soient leurs témoins Ni que tes bras armés encor soient leur refuge.

Tu es celle en grand deuil qui vis avec la mer Pour en apprendre à résister sous les tempêtes Et tu songes et tu pleures, mais tu t’entêtes Dans la terreur et dans l’orgueil de tes revers.
Tu te sens grande immensément, quoique vaincue, Tu fus loyale et claire et ferme, comme au temps Où l’honneur sous les cieux s’affirmait éclatant Où la gloire valait vraiment d’être vécue.
Ton pauvre coin de sol où demeure debout, Face à l’orage, un roi avec sa foi armée, Tu le peuples encor de canons et d’armées, Pour le tenir tragiquement jusques au bout.
Tu te hausses si haut que tu es solitaire Dans la gloire, dans la beauté, dans la douleur Et que chacun t’exalte et t’admire en son cœur, Comme un peuple jamais ne le fut sur la terre.
Qu’importe à cet amour l’angoisse de ton sort Et qu’Ypres soit désert, et Dixmude, ruine, Et qu’aussi vide et creux qu’une sombre poitrine, S’élève au fond du soir l’immense beffroi mort.
A l’heure où cette cendre est encor la Patrie Nous l’aimons à genoux avec un tel élan Que de chacun des murs saccagés et branlants, Nous baiserions la pierre éclatée et meurtrie.
Et si demain l’homme allemand sournois et fou Achevait de te mordre en son étreinte blême, Douce Belgique aimée, espère et crois quand même : Ton pays mis à mort est immortel, en nous.
Source : Émile Verhaeren,
Dans « Les ailes rouges de la guerre »
    Y a-t-il matière à réflexion et à négocier avec Kigali qui pille et qui tue en RDC avec la couverture de l’autorité morale des Nations-Unies en RDC.  Est-ce qu’à travers ce texte, ci-dessus, du poète belge « Émile Verhaeren », les Belges versent-ils dans la dentelle ou bien leur patriotisme affirme les mêmes idéaux, c’est-à-dire ceux de défendre la Belgique jusqu’au « suprême sacrifice » sans rien laisser à l’envahisseur allemand.  Qui peut nier que c’est vraiment-là le langage de la Belgique en tout temps qu’elle est agressée.  Dès lors que c’est sans compromission ni négociation, le réflexe de défendre la Belgique chez les Belges, pourquoi le Ministre des Affaires Étrangères, « Didier Reynders » vient chez nous, au Congo, avec des propos sales et perfides pour intimider le patriotisme congolais à être souverain chez soi.  Quelqu’un comprend-t-il cette logique-là qui consiste à vociférer et à parler fort contre « les régimes libyen, syrien, égyptien, tunisien » et de faire patte blanche devant le « Boucher de Kigali » qui tue et massacre en toute impunité et qui protège, au mépris des Congolais et du Droit internationale, tous les tueurs des Rdéciens à Kigali avec l’aval du silence des grandes puissances.  Pour un voyou, Bosco Ntanganda, un « Rwandais notoire de Kinigi », on crée une mutinerie qui massacre plus de gens que le geste de l’attraper pour le livrer à la Cour Pénale Internationale qui le demande.
Diomi est assassiné agissez
et demander son corps
     Il faut bien l’écouter.  Madame Patrizia Diomi tient un discours politique de grande portée, le régime de Kinshasa vole les morts, ses propres victimes et empêche les familles à faire le deuil de leurs chers diparus.  Il faut dire la vérité aux Congolais : « Eugène Diomi est mort » et j’ai le courage de l’annoncer que de tergiverser dans la langue de bois du gouvernement, de la MONUSCO et des Officiels congolais de tous les cadres constitutifs de la société.  Si je tergiverse, qu’on nous le montre et tout de suite.  Mes chers compatriotes, ne vous laissez pas endormir par les charmeurs des serpents qui viennent chez nous pour intimider notre vigilance et menacer à demi mot nos patriotes à ne pas se défendre contre les meurtriers de leurs frères et sœurs.  L’ONU est au Nord-Kivu, elle ne fait rien pour défendre la population, sa plus grande attention est concentrée dans l’étude de bloquer le nationalisme et le patriotisme congolais dans la région.  Lorsqu’une force se manifeste pour mettre de l’ordre dans les deux Kivu et qui est d’obédience congolais, la MONUSCO lève ses forces et les met en alerte contre toute offensive congolaise vers ceux qui les tuent.  Les « hommes de Kagamé », comme l’avait dit « Madeleine Albright » sont la prunelle de l’oeil des États-Unis, de la Belgique, de l’Occident et de tout le monde capitaliste qui courbe l’échine de Congolais à croupir dans la misère noire qui soit.
    Cette ONU par la MONUC et le MONUSCO n’hésite pas d’offrir son concours à une collaboration criminelle qui sert le régime à tuer la population congolaise des autres provinces.  Car, comment peut-on expliquer que la MONUC, en sont temps ait levé toute son armée pour attaquer à la province de l’Équateur et mater la rébellion des « Enyeles » en faisant des morts en masses ?  Et quand la même insurrection se montre au Kivu du côté de ceux qui massacrent les « Congolais » l’ONU se défilent et trouve des arguments selon lesquels, c’est le gouvernement congolais qui a équipé la rébellion, elle n’a qu’en s’en prendre à lui-même.  Ceci est la réponse d’un responsable de la MONUSCO, un noir de service que l’on a fait parler et qui répondait à TV -5, le 25 juin au « Journal Afrique » de cette chaîne à 11 h00 du soir heure d’Ottawa.  Réveillons-nous avec l’arrestation de Diomi, c’est la plus grande gifle que l’on donne au visage de la République parce que l’on sait que les Congolais sont descendus très bas et qu’ils se trouvent dans une situation de ne pas pouvoir se défendre.
    Au fond, c’est le sort qui est réservé à toute l’élite et à tous les Congolais qui ont encore la fibre patriotique pour la RDC.  Les méthodes qui furent utilisée par « Mobutu avec les Étudiants de Lovanium » font recette avec Joseph Kabila qui est conseillé par une engeance qui connaît comment on étouffe les Congolais quand il a un soupir de vie pour survivre à la torture et au crime contre l’humanité.  Il y a dans l’arrestation d’Eugène Diomi une tentative de nous faire voir ce que l’on nous promet de vivre au singulier et au pluriel.  Cela étant, tirons les leçons qui s’imposent et avançons sans crainte de nous préserver de la violence qui peut surgir sur le champ de notre lutte sans chercher à s’offrir au bourreau qui mugit.  Le courage d’Eugène Diomi nous interpelle à une très haute échelle de valeurs du don de soi.
La MONUSCO et ses cadres repus s’enrichissent
sur les victimes congolaises non-défendues par elle
     En fait, Diomi ne nous demande pas de pleurer sur son sort, celui-ci nous exhorte à nous prendre en charge en refusant toute forme d’accepter l’oppression et de peur.  Car lui, Eugène Diomi, a déjà donné sa vie pour le Congo.  En disant ceci, je vous rappelle qu’Eugène est mort assassiné.  Celui qui doute n’a qu’à exiger qu’on le sorte de sa cachette pour contredire « Djamba Yohé ».  L’entourage de Diomi m’informe, mais surtout les services de renseignement et de sécurité.  Dans le cas courant, c’est moi « Djamba Yohé » qui informe les Congolais et la famille de Diomi de ce qui est arrivé à mon frère Eugène.  Nous avons le loisir, maintenant, devant la « Conscience universelle » de nous soulever comme un seul homme.  L’ONU a déjà déclaré qu’elle est incapable de nous défendre.  Pendant ce temps, l’argent de nos pauvres contribuables et des paysans congolais pourvoie au salaire du Représentant des nations-Unies.  Monsieur Roger Meece jusqu’aux troupes qu’il entretient sans rendre service, ce retour d’espérance tant attendu des Congolais que nous sommes.
    Nous payons un pléthorique Personnel inutile des hommes et des femmes gras qui vivent sur notre dos en nous transférant la souffrance et en se gratifiant de nos impôts et de nos efforts quotidiens.  À tout cela, nous sommes livrés tous aux criminels de guerre et des crimes contre l’humanité et on nous met dans « les crocs de Paul Kagamé » pour être avalé avec notre grandeur par le « Rwanda » encore plus agressifs contre un Congo soumis à son diktat.  Tout cela parce que ce pays-là sert « les Grandes Puissances » sur notre infortune manufacturée en système de valeur rétrograde de vie.  Voici venu le temps de devenir tous des Jeanne d’Arc, des Bonaparte, des Lumumba, de Kimbangu et des mères congolaises qui résistent jusqu’à ce que mort s’ensuive à leurs violeurs dans le Kivu dans sa grandeur initiale et dans le reste du territoire congolais hypothéqué à la cruauté de l’armée rwandaise en uniforme congolais.
    Prenons le pouls de la température vraie de la saison de mort que nous vivons en mourant chacun à l’instant planifié de son dernier souffle.  On ne nous défendra par aucun pays.  Oublions nos querelles intestines, souvenons-nous de l’unanime consensus de nos pères à tous les degrés en 1960 pour nous sortir de la colonisation belge.  Aujourd’hui, plus que jamais, ce moment-là est de nouveau devant nous.  Nos pères ont discuté à la Table-Ronde de Bruxelles, nous prenons notre place à la Table-Ronde cassée et dispersée en sachant le foyer radial de son milieu pour décider à notre tour de notre destinée mis à mal et sabotée par l’ONU, c’est clair.  Le Rwanda est en train de voler le Nord-Kivu en direct des Nations-Unies qui stabilisent cette fraude après avoir pris le temps d’observer cette occupation.  MONUC et MONUSCO sont ces Instances qui ont préparé et préparent notre éviction.  Il est inutile, par ce temps de se mettre en mode de négociation avec le Rwanda, car cette manœuvre-là est une tentative qui tente de faire affirmer le Nord-Kivu comme un territoire congolais hypothéqué par une revendication juste et historique.  Or tel n’est pas le cas.
    Dans son discours, Diomi l’a dit aussi, c’est le passage au cours duquel il dit : « Refusons toutes formes de négociations avec le Rwanda », nous n’avons pas de compte à rendre à nos tueurs.  Car, Kigali veut prendre du temps pour engranger les bénéfices sur le travail des mensonges.  En effet, ces mensonges-là existent et sont encouragés par la MONUSCO.  En République Démocratique du Congo il n’existe pas des tribus nommés « Hutu » et « Tutsi ».  Pourquoi partagerons-nous avec le pays qui a fait plus de six millions de mort en RDC une table de négociation quand aucun lien entre notre vécu et celui du Rwanda, en matière de politique interne n’est pas le même ?  Les conditions de déclarer la guerre au « Rwanda » sont amplement réunies au niveau de l’État, cela fait 17 ans que le Rwanda tue les Congolais au vu et au su de la Communauté internationale, l’ONU, les États-Unis, la Belgique, la France, la Grande Bretagne et le monde entier.  Malgré cette cruauté de la « République Kagaméenne », la France affirme la participation de son Président au « Sommet de la Francophonie » à Kinshasa, en octobre prochain.
    Pour le moment, la discussion prioritaire de la nation doit être axée sur le « Refus de voir arriver une force neutre » dite africaine en RDC.  C’Est la MONUSCO qui commence à faire ses valises et à prendre la fuite après avoir tout détruit chez nous, à savoir :
  1. Le viol des femmes et des enfants ;
  2. L’encadrement des occupants de la RDC et la décoration donnée à Nkundabatuare par l’ONU ;
  3. La négligence criminelle et le refus de venir en aide à peuple en danger ;
  4. Le commerce de la contrebande dans les minerais de Coltan, de cassitérite et de l’étain ;
  5. La stabilisation des territoires volés à la Républiques Démocratique du Congo et la gestion de la fraude électorale de Joseph Kabila sur le dos du peuple congolais, etc.
    Qui plus est, même si la MONUSCO reste, elle sert à quoi si ce n’est pas au désordre ?  Que vaut un pays qui a en son sein plusieurs forces armées qui ne défendent pas le peuple.  Ne sont-ce pas là des dangers potentiels à la criminalité et au désordre de toute nature, car les hommes en armes lorsqu’ils ne font rien, ils deviennent des criminels.  Ce que je dis répond de la science militaire, sinon il n’y aurait pas eu dans les pays occupés par Rome des Colisée, des chaussées romaines et des théâtres ici et là.  Ces œuvres d’architectures sont l’œuvre des soldats et des esclaves, car les « César » avaient compris qu’une armée inoccupée est le plus grand danger pour la population.  La MONUSCO, Les Forces Armées de la RDC, la Force neutre inter-africaine, le M23, les soldats rwandais en sol congolais ne constituent-elles pas une bombe à retardement et une entreprise pour favoriser l’éclatement de la RDC à vrai dire ?
Voilà Buzz Aldrin avec Miss Congo, Mireille Mokono
Cet astronaute a voulu rester pour habiter en RDC
    Nous avons rendu d’énormes services à l’Occident sans en tirer des bénéfices qui vaillent.  Regardez cette photo que j’affiche en mémoire du Grand astronaute disparu depuis avant-hier, j’ai cité, « Neil Armstrong », quand Kinshasa l’accueillait avec ses collègues du « Vol Apollo 11 » lorsqu’ils sont venus dire merci à la RDC d’avoir aidé l’Amérique à arriver sur la lune avec une partie de nos économies nationales et de nos ressources minières.  Est-ce qu’un pays qui est reconnu par ses accomplissements remarquables dans l’histoire de l’humanité peut-il finir comme un territoire d’outre-tombe qui n’a jamais été mis en valeur et qui n’a jamais servi les intérêts de la société humaine ?  Penserions-nous que si le « Congo » n’a jamais valu quelque chose, les astronautes américains, avec leurs épouses auraient acceptés de venir dire merci aux Congolais, puisque c’était là le vrai motif de leur arrivée au Congo, en octobre 1969, à la demande du « Président Nixon » et de la « Nasa ».  Non, n’acceptons pas d’être humiliés jusqu’à être traité comme des vauriens par un peuple que nous avons accueilli chez nous pendant des décennies et qui devient, par abus d’empathie lui témoigné par la planète entière à la suite de sa guerre civile qui a fait moins des victimes que celles que lui-même a fait chez nous, le bourreau de son hôte le plus convivial et le plus cordial, je veux dire les Congolais, à travers les initiatives de son Président criminel Paul Kagamé.
Les astronautes américains à Kinshasa, on voit Armstrong
costume blanc et à l’extrême droite Sheldon Vance, Amb.
    L’heure a sonné pour mettre fin à l’esclavage dans lequel le Rwanda et l’Ouganda nous ont glissés.  Nous sommes la première république démocratique du monde noir.  Il est faux de croire que la tentative de créer une république démocratique en Afrique sub-saharienne vient du Sénégal, du Ghana, du Nigéria, du Kenya, voire d’Afrique du Sud.  La première république démocratique noire en Afrique et dans le monde est la « République Démocratique du Congo ».  Dès 1960, les Pères de l’Indépendance ont décidé en toute liberté de conscience de faire du Congo une république démocratique.  Ce régime a fonctionné pendant cinq ans de 1960 à 1965.  En 1964, dès lors qu’on a vu que le Congo avait réussi, malgré les guerres et les rébellions, une conduite politique démocratique et parlementaire, les hommes d’État congolais à la Conférence de Luluabourg ont alors nominé le Congo avec l’adjectif « démocratique ».  Par conséquent, nous ne pouvons pas laissé cet héritage là nous échapper en nous présentant au monde comme le peuple du plus grand désordre.  Tous nos désordres ont été organisés en Belgique, en France et dans la Communauté Internationale.
    La Guerre de « Sécession du Katanga » venait de Belgique et de la France.  La « rébellion Muléliste » venait de la Yougoslavie, de l’URSS, de la Chine Populaire et de la Hongrie.  Mettons fin aujourd’hui à toute cette gabegie.  Nous parlons depuis un certain temps maintenant de la résistance civile.  Alors, entrons déjà dans la première étape de cette offensive citoyenne pour retrouver nos libertés fondamentales arrachées à la Table Ronde de Bruxelles de 1960.  Le Rwanda, l’Ouganda ne vont pas nous laisser tranquilles, ils sont décidés à nous égorger jusqu’au dernier des Congolais.  Pour l’instant, nous n’avons pas besoin d’aller faire la guerre à l’étranger, mais nous avons le droit, chez nous, sur notre territoire d’attaquer le M-23 sans attendre la fallacieuse force neutre, c’est pour nous endormir.  Passons donc à l’offensive en suivant la séquence de ces étapes :
  1. Le Peuple congolais doit faire un Coup d’État d’initiative populaire ;
  2. La Résistance congolaise doit se doter d’un État Major civil ;
  3. Le Peuple congolais, de l’intérieur comme de l’extérieur, doit créer une plateforme citoyenne pour instaurer un pouvoir populaire qui se coordonne de l’intérieur comme de l’extérieur sans devoir s’empiéter ni se chevaucher ;
  4. La communauté des aînés congolais, par ses Notables, doit accepter d’assumer le Haut Commandement de cette organisation de la Résistance Civile, car elle aura la sagesse d’éviter les excès pour diriger les résistants vers ceux qui ont tué plus de 6.000.000 de Congolais ;
  5. Les forces vives de la Nation doivent organiser des cellules dormantes de la Résistance qui devront être prêtes à riposter à toute agression qui vient de l’extérieur pour détruire la Nation congolaise, il est dès lors impératif, avant de mettre en place cette organisation de défense de la Patrie, de susciter un mouvement populaire de Volontaires de la République ;
  6. Dès à présent, que les Congolais de partout ou ils se trouvent initient des Séminaires de Civisme et des Cours condensés de l’histoire de la République Démocratique du Congo. Nous avons des hommes pour se faire, je les cite :

    • Paul Kaumbu ;
    • Jean Kalama Ilunga ;
    • Rolain Mena ;
    • Freddy Mulongo ;
    • Jean-Pierre Mbelu ;
    • Diangitukwa Fweley ;
    • Salomon Valaka ;
    • Arthur Lengi ;
    • Arthur Kalombo ;
    • Roger Puati, etc.
    Le temps d’entrer en guerre pour déconfigurer toute la construction de la balkanisation du Congo est venue, l’ONU n’a jamais permis à ses forces armées de défendre les Congolais, leurs femmes, leurs enfants, leurs grands-mamans et leurs nourrissons.  Les Congolais, que nous sommes, entretenons l’ONU et la MONUSCO à des fins d’escroquerie que seule connaissent ces Instances en RDC.  En vérité, l’ONU et la MONUSCO organisent notre éviction comme pays uni et souverain.  Sortons du tombeau des mensonges des Nations-Unies, c’est cela qu’il nous faut faire pour le moment.  Que tous nous devenions.
    Eugène Diomi n’est pas mort pour rien.  Si on met en doute ce que j’affirme, qu’on le montre Diomi au public congolais, sinon, mon peuple et ma souveraine dilection, levez-vous tout de suite.  C’est déjà là un ordre qui s’auto-ordonne de soi.  Un voyou venu d’ailleurs et qui n’a pas d’assise sur notre territoire et qui dirige par défi ne peut pas nous dominer comme des objets de sa volonté.  Ce Congo a été façonné par nos pères.  Ce que l’on nous fait vivre, on ne le fera jamais au peuple allemand, aux Américains et aux Chinois, sinon  partout dans le monde, même au Rwanda.  Pourquoi ce laxisme et cet immobilisme quand on nous impose des « Rwandais » comme des Congolais pour négocier avec nous.  Joseph Kabila n’est pas congolais, c’est un voyou de grand chemin qui n’a que le mort à donner aux Congolais et le désir de dépecer la RDC au profit de ses souteneurs et commanditaires des crimes.  Là-dessus, nous n’avons pas à chercher très loin pour montrer que Joseph Kabila est au service de l’étranger pour démembrer le Congo.  Je ramène à la lecture ce que Freddy Mulongo a écrit de cet homme en 2010, au mois de mars :
    Le mardi 20 janvier 2009, plus de 3000 soldats rwandais ont pénétré, dans le pays à la recherche des rebelles hutus rwandais pour traquer les membres des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDRL) accusés d’avoir participé au génocide rwandais de 1994. L’armée rwandaise est entrée au Congo avec femmes, enfants, vaches, casseroles, louches et bibelots … De son côté, le président de la rébellion hutu rwandaise des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), Ignace Murwanashyaka, avait annoncé que 6000 soldats rwandais se trouvaient, également, au Sud-Kivu. « Environ 6000 hommes lourdement armés sont entrés dans la région. Ils ont été immédiatement déployés dans les localités de Mwenga et dans le parc de Kahuzi-Biega, selon des rapports de terrain qui me sont parvenus », a-t-il déclaré, mercredi 21 janvier 2009, à l’AFP.

 

    La localité de Mwenga est située à environ 80 km au sud-ouest de Bukavu, capitale du Sud-Kivu, frontalier du Rwanda … Pourquoi le locataire du Palais de la Nation peut s’autoriser tout seul à révoquer les Magistrats sans laisser la Cour Constitutionnelle le faire ? Joseph est un président de la République, capitulard qui a trahi la Nation Congolaise. Le mercredi 30 juin 2010, Joseph a jeté le masque, il a présenté sa véritable face. Celle d’un agent de l’étranger. Celle d’un infiltré au service du régime rwandais de Paul Kagamé. Un fait apparemment banal a mis un terme à dix années de mystère. Dix années de faux-semblant. Le mercredi 30 juin 2010, le numéro un Congolais a retardé le démarrage du défilé organisé à l’occasion des festivités du « Cinquantenaire » de la République démocratique du Congo. Motif non avoué : attendre l’arrivée du satrape de son mentor rwandais, Paul Kagamé. Source : Réveil FM. dans la « République des copains et des coquins » par Freddy Mulongo, le 21 décembre 2010.

 

Les tueurs conspirateurs de la RDC

Paul Kagamé et son domestique Kabila

    Qu’il nous souvienne que« Désiré Kamanzi du CNDP«  était rwandais, c’est même comme cela qu’il est connu dans bien des pays, Sultani Makengo n’est pas congolais, c’est une recrue du FPR qui a changé de nom.  Congolais, il est temps de se réveiller et de sortir du sommeil qui dure bientôt vingt ans.  Les Rwandais comme le M23 ne sont pas aussi fort qu’on ne le pense.  Tous, de ces aventuriers qui brûlent le Congo, attaquons-les avec les moyens dont nous disposons.  La MONUSCO, par les experts qu’elle ne domine pas a démontré hors de tout doute et avec la preuve à l’appui que les hommes en armes du M23 sont des Rwandais, entraînés au Rwanda pour tuer au Congo.  Aujourd’hui, nous avons perdu Eugène Diomi, levons-nous, Joseph Kabila, par ses bourreaux l’a tué comme Floribert Chebeya et Armand Tungulu.  La légitime défense est la seule permission que l’on ne refuse à personne lorsqu’aucune autre forme de protection n’est plus garantie à une victime à récurrence récidive.

 

L’ONU a dit qu’elle ne peut plus protéger les Congolais, qu’elle a échoué, c’était au Conseil de sécurité, en 2011.  Prenons-nous en charge, on vient d’assassiner Eugène Diomi Ndongala.  N’écoutez pas les démentis de la « RTNC » et du « Ministère des Médias », ce sont des mensonges qui vont être racontés, il faut insister pour voir la victime disparue.  Cela se sait sans spéculation …

 

Je présente mes condoléances au « Peuple Congolais » pour cet crapuleux assassinat.

Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l’Atlantique Nord,
Ottawa, le 26 août 2012,
Canada.