LE PARTI DE LA GAUCHE ITALIENNE “RIFONDAZIONE COMUNISTE” DENONCE LA DETENTION ARBITRAIRE DU DEPUTE DIOMI NDONGALA A L’ANR

par mpp le 23 Septembre 2012

TRADUCTION DE L’ITALIEN:

Grande Inquiétude de la Diaspora Congolese

Nous avons reçu de nos camarades congolais cette information que nous relançons et par rapport à laquelle nous vous invitons à faire autant avec vos contact. Il est nécessaire d’attirer l’attention de la communauté internationale sur ce qui se passe au Congo-Kinshasa.

Les cas d’enlèvements politiques sont fréquents en République Démocratique du Congo (RDC). Après la séquestration et l’assassinat de Floribert Chebeya, militant des droits de l’homme et de son chauffeur et assistant Fidèle Bazana à Kinshasa en juin 2010 ( dont le corps, depuis son enlèvement, n’a pas été retrouvé à ce jour), et maintenant le kidnapping de DIOMI NDONGALA, président de la locale Démocratie Chrétienne et député de l’opposition, qui perdure désormais depuis 3 mois, de la part de l’Agence national de Renseignement (ANR – services secrets congolais) , tout cela fait craindre le pire en ce qui concerne la situation des droits de l’homme en RDC. L’épouse de M. Diomi Ndongala, Patrizia Diomi, de nationalité italienne, et la famille du député de l’opposition n’ont plus ses nouvelles ni des preuves qu’il est encore en vie.

Nous estimons qu’il est très inquiétant le silence de la communauté internationale sur cet affaire, même si cela ne nous étonne pas en ce qui concerne l’attitude internationale envers les congolais. D’ailleurs, la liste des “desaparecidos” congolais s’allonge de jour en jour en RDC.

Plus d’informations sont disponibles dans le site http://democratiechretienne.org

La diaspora congolese della RDC in

Belgio è inquieta

Posted on 22/09/2012

Riceviamo dai nostri conpagni congolesi questo comunicato che rilanciamo e di cui invitiamo a fare lo stesso a tutti i nostri contatti.. Cerchiamo di attirare l’attenzione della comunità internazionale su quello che sta avvenendo in Congo.
I casi di sequestro politico sono frequenti nella Repubblica Democratica del Congo (RDC). Dopo il sequestro e l’assassinio di Floribert Chebeya, militante dei diritti umani, e del suo autista Bazana a Kinshasa, nel giugno del 2010, ora il sequestro da parte dell’Agenzia Nazionale di Informazione (ANR) di Diomi Ndongala, presidente della locale Democrazia Cristiana e deputato dell’opposizione, che dura ormai da tre mesi, fanno temere il peggio. Sua moglie italiana, Patrizia Ndongala, la sua famiglia e le persone più vicine non hanno notizia alcuna, né capo di imputazione né elementi che possano far pensare che sia ancora in vita. È inquietante il silenzio delle istanze internazionali su questo affare, come sempre d’altronde. La lista dei “desaparecidos” si allunga, nella RDC. Altre informazioni in http://DEMOCRATIECHRETIENNE.ORG