Les rebelles du Congo seraient en train de piller  la banque centrale à Goma après avoir refusé de se retirer de la ville ils ont capturé la semaine dernière .

M23 combattants ont entouré de la banque au début de l’après-midi et ont été vus charger des sacs blancs dans les voitures. Les rebelles armés avaient l’air nerveuse et a ont ordonné au gardien de quitter la zone.

«Ils pillent la banque », a déclaré une source de l’ONU. Plus tard, une autre source de l’ONU a nié qu’il y avait eu de l’argent dans les sacs, insistant sur le fait qu’ils étaient pleins de haricots.

Dans une conférence de presse dans la matinée du mardi le chef rebelle Mgr Jean-Marie Runiga ledit M23 refuserait d’obéir à un appel lancé par les dirigeants régionaux de la Conférence internationale des Grands Lacs de quitter la capitale du Nord-Kivu pour ouvrir la voie pour la paix pourparlers.

Un retrait serait le résultat, pas une condition préalable, la négociation, Runiga dit.

« Je demande à[le président congolais] Joseph Kabila, si M23 doit se  retirer [de Goma], » at-il dit, avant d’esquisser une série de conditions. Notamment, il a réclamé la liberté pour le leader de l’opposition Etienne Tshisekedi et d’autres prisonniers politiques, la dissolution de la commission électorale, et une enquête sur la tentative d’assassiner le Dr Denis Mukwege .

«Si [Kabila] fait cela, alors il n’ya pas de problème, nous pouvons parler immédiatement de quitter la ville», a déclaré Runiga.

Un porte-parole de la République démocratique du Congo, le gouvernement, Lambert Mende, a déclaré à Reuters ces conditions étaient une farce. « C’est une farce, c’est le mot, » at-il dit. « Il ya eu un document adopté par la région [de se déplacer vers des négociations]. Si chaque jour ils vont revenir avec de nouvelles exigences, il devient ridicule. Nous ne sommes plus dans les domaines de la gravité. »

Le porte-parole de l’armée le colonel Olivier Hamuli a déclaré que ses forces allaient prendre des mesures contre les rebelles. « S’ils ne veulent pas quitter Goma alors la guerre va continuer », at-il dit. « Nous devons retrouver le territoire que les rebelles ont pris. »

Pendant ce temps, il y avait des rapports d’une attaque par les rebelles des Forces extrémistes démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), qui sont les ennemis de la M23, sur la frontière au Rwanda. Le général de brigade Joseph Nzabamwita, le porte-parole de l’armée rwandaise, a déclaré à Reuters 150 combattants rebelles ont attaqué des villages au Rwanda près de la frontière congolaise. FDLR nié leur implication.

Runiga accusé l’armée congolaise de collaborer à l’opération, une accusation rejetée par l’armée congolaise.

« Le M23  a le  contrôle de la frontière [avec le Rwanda]. Où sommes-nous censés avoir traversé? » demandé aux Hamuli, le porte-parole de l’armée.

On a signalé des combats entre l’armée congolaise et M23 près du village de Shasha environ 21 miles (35 km) à l’ouest de Goma durant la nuit entre lundi et mardi. Une source onusienne a déclaré que ni l’armée ni M23 a changé de manière significative leurs positions après le choc.

M23 est une référence au 23 Mars, le jour en 2009 lorsque le gouvernement congolais a signé un accord de paix avec les groupes rebelles différents opérant dans l’Est du pays. M23 veut discuter de ces accords qui, selon elle, n’ont pas été respectées par le gouvernement. Cependant, Runiga a déclaré mardi que leurs demandes maintenant est allé plus loin que de simplement revoir l’accord de paix de trois ans.

« Entre 2009 et 2012, des choses se sont passées. Il ya de nombreux problèmes qui persistent au Congo», at-il dit. «Nous voulons des négociations, mais seulement à la condition que nous réévaluer les [2009] accords et traitent également de questions fondamentales sur la vie de la nation. » La corruption, les infrastructures, l’éducation, la santé, la sécurité et la démocratie étaient à l’agenda M23 pour discussion, Runiga dit.

TRADUCTION GOOGLE

THE GUARDIAN

http://m.guardian.co.uk/world/2012/nov/27/congo-rebels-defy-order-goma