DIOMI NDONGALA: LE COURAGE DE LA VERITE, LA VOLONTE DU CHANGEMENT
PRESENTATION DE L’HONORABLE EUGENE DIOMI NDONGALA, PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, DC EN SIGLE ET PORTE PAROLE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP EN SIGLE
Eugène Diomi Ndongala est né à Sona Bata (Bas- Congo) le 25/12/1962, fils de Gaston Diomi Ndongala (un des pères de l’Indépendance du Congo-Kinshasa et fondateur du Mouvement National Congolais avec Patrice Lumumba) et Elisabeth Dikiadi.
Il a effectué ses études primaires à Matadi et secondaires au Séminaire de Kimvula.
Il a effectué ses études universitaires à Pérouse (Italie) en Histoire et à Rome (Italie) en Sciences Politiques.
Terminés ses études, il participe à la Conférence Nationale Souveraine dans un groupe de jeunes resortissants de la diaspora congolaise dénommé «Forces Acquises au Changement ». Il est désigné Ministre de la Jeunesse et Sport au sein de la Conférence Nationale, à l’âge de 30 ans.
Au debout des années 80 fonde la Démocratie Chrétienne Congolaises, DC en sigle, parti humaniste d’inspiration chrétienne.
Il est désigné Député pendant la transition au Haut Conseil de la République, Parlement de Transition.
Dans deux gouvernements d’Union Nationale il sera Vice-Ministre de l’Economie et des Finances.
A l’entrée de l’Afdl, il fonde le Front pour la Survie de la Démocratie, FSD en sigle, qui réunit un groupe de politiciens qui s’opposent à l’interdiction des activités politiques ordonnée unilatéralement par Laurent Désiré Kabila, les successeurs de Mobutu.
Il publie en 1998 le « Manifeste de la libre pensée politique du FSD » dans lequel il revendique la liberté d’expression et la nécessité, pour le nouveau régime, de mettre en place des institutions politiques qui reflètent une véritable Démocratie pluraliste et représentative plutôt que les Comités de Pouvoir Populaire, CPP en sigle, d’inspiration Libyenne et chinoise que Laurent Désiré Kabila soutient comme seules institutions légales du pays.
A cause de sa volonté de rejeter l’interdiction des activités politiques du régime liberticide de Laurent Désiré Kabila, il est arrêté par les services de sécurité plusieurs fois – dés 1997 jusqu’en 2001 presque tous les trois mois. Pour deux fois il est enlevé et détenu au secret par les services de sécurité de l’époque, en décembre 1997 et encore en mai 1999.
L’Union Interparlementaire (UIP) et Amnesty International, lancèrent deux appels en sa faveur aux deux occasions.
Le régime filo-marxiste de Laurent Désiré Kabila lui reprochait, entre autre, la proposition d’un Forum de pacification et reconstruction de la RDC et la revendication d’un Constitution garantissant les droits civils et politiques des congolais (à l’époque la RDC évoluant sans Constitution Légale).
Le Forum de pacification et reconstruction se matérialisera dans le Dialogue Intercongolais, où il participa en tant que chef de délégation du FSD-Démocratie Chrétienne, dans les rangs de l’opposition politique pacifique non armée.
Il est désigné Ministre des Mines dans le gouvernement issu du Dialogue Intercongolais, dans le quota réservé à l’opposition politique pacifique et non armée.
Il fut candidat Président de la République en 2006 et son parti, la Démocratie Chrétienne et alliés, présentèrent le plus grand nombre de candidats aux élections législatives et provinciales, bien avant tous les autres partis politiques.
Désigné par cooptation par les autorités traditionnelle du Bas-Congo « député Provinciale », ne pourra pas siéger malgré la Cour Suprême de Justice ait reconnu la validité de sa désignation au nom des autorités traditionnelles du Bas-Congo.
En 2010, renonce à sa candidature à l’élection présidentielle en faveur d’Etienne Tshisekedi, le leader historique de l’opposition politique pacifique en RDC.
Depuis 2010, il organisa différentes manifestation politiques pacifiques afin de revendiquer la transparence du fichier électoral, pour la tenue d’élections démocratiques et crédibles
Elu massivement en 2011 Député National dans les rangs de la Démocratie Chrétienne, dans la circonscription de la ville de Kinshasa, pour protester contre la fraude électorale massive ayant caractérisée les élections tant législatives que présidentielles, ( tout en validant son mandat en tant que député élu) , il décida de respecter le mot d’ordre du Président Etienne Tshisekedi du boycott de l’Assemblée Nationale, revendiquant, au même temps, un Dialogue Politique qui traite de la crise de légitimité qui continue à miner la crédibilité des institutions politiques en RDC.
En Avril 2012, en alliance avec l’Udps d’Etienne Tshisekedi, il lance la plateforme Politique « Majorité Présidentielle Populaire », MPP en sigle, une plateforme politique réunissant 60 partis et organisations de la société civile.
La veille de la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, le 26/06/2013, le régime Kabila lance un montage visant à l’éliminer physiquement, au siège de la Démocratie Chrétienne.
Echappé au montage, il sera enlevé le lendemain et détenu au secret pendant trois.
Pendant sa détention au secret, le régime Kabila lança une véritable campagne de dénigrement personnel l’accusant sans preuves d’un délit de mœurs afin de salir son honorabilité et entacher sa popularité
Libéré à la veille de la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa, à titre de décrispation politique, il sera opéré le 18/10/2013 à cause des séquelles physiques de sa détention au secret.
Après sa convalescence, il reprendra en janvier 2013 ses activités politiques.
Il sera encore enlevé la nuit du 08/04/2013 et depuis détenu à la Prison CPRK de Kinshasa, où il demeure malgré deux ordonnances de la Cour Suprême aient ordonné son assignation en résidence, un député National ne pouvant pas, selon la loi congolais, être détenu en prison en détention préventive.
Le 11/04/2013, le Ministre des affaires Intérieurs apparait à la télévision nationale pour présenter 13 individus dont 1 membre de la DC et 2 de la MPP enlevés et détenus au secret depuis le 18/01/2013, les indexant comme les membres d’une conspiration appelée par lui-même « Imperium » qui aurait dû attenter à la vie de Joseph Kabila à travers les armes suivantes : 1 machette ; des bouteilles en plastique présentées comme des « Molotov », des mousses de matelas ; des téléphones portables de marque Motorola.
Malgré le caractère risible de la présentation, le Ministre de l’Intérieur accuse publiquement et sans preuves le député Diomi Ndongala de l’organisation de cette « conspiration » invraisemblable.
Depuis, le Député National Eugène Diomi Ndongala est soumis à un régime carcéral très dur, à la limite de la torture alors qu’il est détenu illégalement en prison, à cause de ses opinions politiques.
Son mandat sera invalidé par le régime Kabila prétendument à causes de ses absences dues à son arrestation et son emprisonnement illégal. L’union Interparlementaire à durement condamné cette décision politique inique et aberrant ainsi que l’harcèlement politico-judiciaires dont il est victime le « député du peuple ».
Tombé gravement malade, le régime Kabila lui refuse l’assistance médicale adéquate.
Assigné en résidence par 3 ordonnances répétitives de la Cour Suprême de Justice, il est illégalement détenu à cause de la simple volonté du PGR Flory Kabange Numbi qui refuse de donner application aux décisions de la Cour Suprême.
Le 23/07/2013 l’honorable Diomi Ndongala donne une interview à Radio France Internationale dans laquelle il condamne la répression politique du régime en place en RDC; sa volonté d’exercer coute que coute son droit à la libre expression provoque l’ouverture d’un troisième dossier pénal à sa charge, alors qu’il est illégalement détenu…
Devant être immédiatement hospitalisé, le régime Kabila décide de le faire soigner dans un « camp militaire » où il refuse d’être acheminé sachant le risque qu’il court dans ce lieu de détention extra-judiciaire.
A cause du manque d’assistance médicale urgente, le Président de la Démocratie Chrétienne risque de succomber aux graves pathologies dont il souffre, cela étant manifestement le dessein inavouable du régime Kabila pour se débarrasser du fer de lance de l’opposition politique en RDC à travers un harcèlement politique violent et de longue date.
DC





Au moment ou le PPRD invite toutes les forces vives de la nation congolaise à un dialogue inclusif, j’estime à mon avis contradictoire emprisonné quelqu’un si opposant soit-il pendant que l’instruction est encore en cours? Nous sommes dans un véritable feuilleton d’une comédie sans en finir. Qu’on nous présente et que comparaissent les deux mineures, si seulement si elles existent. Ou est passée la justice congolaise? En quoi ce dossier diffère t-il de celui de DSK? Si DSK a eu droit a présomption d’innonce malgré la panoplie d’artifices invités par-ci par-là, au moins le public a été gratifié de tous les méandres de la justice. De plus, les aboyeurs du PPRD ou de la majorité présidentielle défile à longueur de journées pour étaler leur bassesse. Jamais ce pays ne sortira de l’auberge avec ce genre d’agissement. Qui ignore que KJ a été élu irregulièrement (par fraude puisqu’il a déclaré ubi et orbi après les élections). Aujourd’hui, ils prétendent nous donner des lecons de justice,quelle est la sanction réservée à un tricheur?
Le noeud du drame congolais, c’est le manque de vrais politiciens. Tous sont corrompus, malléables et vicieux.
Qu’on ne nous endorme plus avec des histoires de concertation ou dialogue. Jusques-à-quand continuerons-nous à dialoguer? Si la majorité au pouvoir se croit sur une bonne voie, qu’elle poursuive son chemin tout en gardant en mémoire que tous les indicateurs contrairement aux informations diffusées à longueur de journées sont au rouge à savoir: indice du développement humain, climat des affaires, droits de l’homme et j’en passe.
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Jéhovah DIEU le gardera en vie malgré les tortures et douleurs qu’il subit, car la cause qu’il défend est noble!
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