L’UA lance une force régionale contre Kony
L’UA lance une force régionale contre Kony
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Cette Force régionale d’intervention (FRI) comprendra des militaires ougandais, congolais (RDC), centrafricains, et sud-soudanais, qui traquent déjà la LRA et son chef Joseph Kony (ci-dessus) sur leurs territoires respectifs. Son QG sera basé dans la ville sud-soudanaise de Yambio.
Photo: Archives AP
| Agence France-Presse Entebbe, Ouganda |
La traque de la sanguinaire rébellion ougandaise de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA, Lord’s Resistance Army) par les armées des pays concernés va être coordonnée à compter de samedi par une force régionale de l’Union africaine (UA), a annoncé l’organisation continentale vendredi.
Crée en 1998 dans le nord de l’Ouganda, la LRA en a été chassée en 2006 par l’armée ougandaise et opère désormais dans les pays de la région -Soudan du Sud, Centrafrique et RDC.
«Demain, 24 mars, nous allons, avec l’ONU, lancer cette force (…) forte de 5000 hommes», a déclaré lors d’une conférence de presse, l’envoyé spécial de l’UA sur la question de la LRA, Francisco Madeira.
Cette Force régionale d’intervention (FRI) comprendra des militaires ougandais, congolais (RDC), centrafricains, et sud-soudanais, qui traquent déjà la LRA sur leurs territoires respectifs. Son QG sera basé dans la ville sud-soudanaise de Yambio.
«Ce qui va changer c’est que nous allons avoir un meilleur renseignement et une meilleure coordination», a-t-il ajouté, précisant que la FRI serait placée sous commandement ougandais, tandis que la coordination du renseignement serait sous responsabilité congolaise.
La FRI est une des composantes de l’Initiative de Coopération régionale pour l’élimination de la LRA (ICR-LRA), dont la mise en oeuvre a été décidée en novembre dernier par le Conseil de paix et de sécurité de l’UA, avec le soutien de la communauté internationale.
Des forces spéciales américaines sont déployées depuis fin 2011 dans ces quatre pays, où elles aident les forces locales contre la LRA, sinistrement réputée pour ses enlèvements d’enfants transformés en combattants ou en esclaves sexuels et pour ses mutilations de civils.
Les quatre pays impliqués dans la FRI financeront leurs opérations, mais des partenaires internationaux se sont engagés à aider l’UA, a précisé M. Madeira, sans préciser lesquels.
Il a rappelé que l’ICR était prévue depuis l’an dernier et n’avait donc rien à voir avec le succès d’une campagne vidéo américaine polémique sur internet appelant à l’arrestation de Joseph Kony.
2 Commentaires
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Démocratie Chrétienne, D.C. 
AVEC L’ ACCORD DE QUI!!!!???
VEAIMENT, LE CONGO EST TOMBÉ PLUS BAS, J’ AI L’ IMPRESSION QU’ IL N’ YA PLUS DES HOS DS CE PAYS…..
TOUS DES PERREUX, LES HOS DOIVENT COMMENCER À PORTER LES JUPES…..
SI VS ETES INCAPABLES, LAISSER DONC LA COMMENDE DU CONGO ENTRE LES MAINS DES FEMMES, ELLES VS MONTRRONS DE QUOI ELLES SONT CAPABLES,
BANDE DES LACHES LES HOS CONGOLAIS….
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Congolaises et Congolais c’est le moment d’ouvrir les yeux, les oreilles et faire des sacrifices pour récupérer notre pays des mains d’aventuriers . La R.D.C. n’a pas une armée capable de défendre son territoire national mais voici qu’elle s’engage dans une aventure pour distraire les Congolais et par la suite laisser un couloir pour permettre le RWANDA d’envahir une fois pour toute la R.D.C. Je vois gros ce qui va se passer par la suite. Ceci est en complicité avec une partie de la communauté internationale. Il faut que les députés et les sénateurs demandent à J.KABILA pour savoir qui va payer les militaires impliqués dans cette logique? Demander qui a donné l’autorisation et quelle est la durée de cette opération? Pourquoi il n’est pas capable de payer correctement ces fonctionnaires y compris l’armée et la police? Tous ceux qui se précipitent de toucher l’argent du peuple sans rendre compte de ce qui se passe dans notre pays auront des justificatifs à faire devant ce peuple un jour. Mes chers compatriotes, il vaut mieux garder la nostalgie d’un paradis en le quittant que de le transformer en enfer en y restant. Ne laissez à ce fou de continuer à faire ce qu’il veut sans approbation du parlement et du sénat. Pour les collabos leurs comptes seront régler en temps voulu. L’histoire dans le monde se répète d’où des coupables d’une manière ou d’une autre finissent toujours à payer leur addition.
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