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GRAVES INCIDENTS AU PROCES POLITIQUE CONTRE LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, L’Hon. EUGENE DIOMI NDONGALA, AU COURS D’UNE ENIEME AUDIENCE NOCTURNE ET A HUIS CLOS LE 12/03/2014/ LA CSJ VEUT CONDAMANER DIOMI NDONGALA SANS L’ENTENDRE NI ENTENDRE LES PLAIDOIRIES DE SES AVOCATS

logo-dcCOMMUNIQUE DE LA DC :

GRAVES INCIDENTS  AU PROCES POLITIQUE CONTRE LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, L’Hon. EUGENE DIOMI NDONGALA,  AU COURS D’UNE ENIEME AUDIENCE NOCTURNE ET A HUIS CLOS LE  12/03/2014: LA CSJ VEUT CONDAMANER DIOMI NDONGALA SANS L’ENTENDRE NI ENTENDRE LES PLAIDOIRIES DE SES AVOCATS

 La Démocratie Chrétienne tient à dénoncer les graves incidents qui ont émaillé la tenue de l’énième audience nocturne et à huis clos du procès politique mené contre l’Hon. Eugène Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne et porte-parole de la plateforme politique Majorité Présidentielle Populaire qui soutient l’élection de S.E. en tant qu’Elu des dernières élections Présidentielles.

  1. IRREGULARITE ET ILLEGALITE DE LA COMPOSITION DE LA CHAMBRE

    Les Avocat de Diomi Ndongala ont fait remarquer aux juges de la Cour Suprême de Justice statuant en dernier dégrée en tant que Cour de Cassation, que la composition de la chambre qui était en train de juger le Président de la Démocratie Chrétienne était irrégulière car constitué en violation de la Loi promulguée le 10/04/2013 concernant le Fonctionnement et l’Organisation de la Cour de Cassation. Cette loi prévoit que la Composition de la Chambre de la CSJ siégeant en tant que Cour de Cassation en matière pénale soit composé par 7 membres dont 4 Présidents. Au cours de l’audience du 12/03/2014, les Juges de la Cour Suprême ont rejeté l’argument avec une motivation qui n’est pas juridique, estimant que l’application de la loi dépendait de l’allocation d’un budget relatif au premier Président de la CSJ….Cet argument n’étant pas « juridique » la Démocratie Chrétienne tient à souligner que toute décision adoptée par une Chambre siégeant irrégulièrement en violation de la loi sur l’organisation de la Cour de Cassation datant le 10/04/2013 est nulle. (VOIR LA NOTE DE PLAIDORIE EN ANNEXE )

  2. CONTRADICTIONS EN CASCADE DE LA PART DE LA PRETENUE PARTIE VICTIME DONT L’IDENTITE RESTE IMPRECISEELes avocats de Diomi Ndongala ont voulu mettre un terme à l’anomalie qui a caractérisé plusieurs audiences au cours desquels les prétendues victimes dans cette affaire n’apparaissaient pas. Une fois appelées à comparaitre et étant interrogées une après l’autre, les deux dames qui ont été utilisées dans ce montage politico-judiciaire accusant le Président de la DC d’un prétendu viol, ont étalé l’ensemble de contradictions qui décrédibilisent aussi bien leur accusation que leur identité :
  1. Les deux dames ont été incapable de préciser leur adresse de résidence ;
  2. Tous en disant scolarisées, ils ont REFUSE de préciser le nom des écoles fréquentées ou bien qu’elles fréquentent ;
  3. Elles sont incapables d’indiquer à quelle date et à quelle heure elles auraient eu des rapports avec la personne qu’elles accusent sans preuves ;
  4. Alors qu’elles ont toujours soutenu avoir rencontré Diomi Ndongala au siège de la DC dont elles ne savent pas indiquer l’adresse, elles sont revenues sur leurs déclarations citant le quartier de résidence du Président Diomi Ndongala, où il réside toute la famille Diomi et son épouse : pour l’une elles seraient entrées dans la parcelle, pour l’autre ils seraient restées dehors le portail, ce qui est impossible car la route amenant à la résidence Diomi n’a pas de parking extérieur, amenant directement au portail de la maison ;
  5. Les fausses victimes sont incapable de citer aussi bien la couleur que la marque du véhicule avec lequel elles indiquent avoir circulé en compagnie du Président Diomi ;
  6. Alors que l’une parle d’un taxi express pour se rendre  au siège de la DC pour rencontrer le Président Diomi le 20/06/2012 et non plus le 26/06/2012 comme elles avaient affirmé sur procès-verbal, l’autre parle d’une moto ; elles citent huilerie comme siège de la DC alors que celui –ci se trouve sur Colonel Ebeya à Kinshasa.Face à cet ensemble de contradictions, le président Diomi Ndongala a pris la parole pour demander aux juges de constater d’abord les contradictions des déclarations des prétendues victimes et surtout le fait qu’elles se présentent sous fausses identités ; le Président Diomi a donné aux juges l’indication précise des vrais parents et l’adresse des familles des deux imposteurs qui ne sont ni des sœurs ni les filles de celui qui se présente comme leur père, le repris de justice Kennedy Kambala, connu dans la ville de Kinshasa comme frappeur de faux dollars et escrocs professionnel. Soulignant que le Code de la famille congolais, à son art.64 indique sans ambages que la question de la fausse paternité est préjudicielle à toute instructions, le Président Diomi Ndongala a demandé qu’avant toute chose les juges se planchent sur la fausse identité, âges et même filiation de celles qui l’accusent car cela fait partie intégrant du montage dont il est victime, d’autant plus que au cours d’une citation directe contre la fausse famille, les Juges de Paix de Matete avaient déjà contesté la validité du seul document que la fausse famille présente comme document d’identité, c.a.d  une simple attestation de naissance en papier simple écrite par le bourgmestre de Kalamu. Lors de la descente des Juges du Tribunal de paix de Matete, ceux-ci avaient constaté que cette attestation de naissance –émise le même jour pour les deux dames – était fausse car non transcrite dans aucun registre de l’état civil.

     Malgré l’importance  centrale de la question de la fausse identité, âge et même nom des accusateurs du Président Diomi Ndongala, les juges de la CSJ, siégeant irrégulièrement en violation de la loi sur l’organisation et fonctionnement de la Cour de Cassation, ont refusé de se pencher sur la question, refusant même de donner la parole à la défense, affirmant que Diomi Ndongala devait être nécessairement jugé le jour même. En particulier, Diomi Ndongala avait demandé l’application de l’Art.640 du code de la famille qui dit ceci: « Capture13314

Face à cette attitude et au refus de prendre en compte les exceptions fondamentales de la défense, les Avocats de Diomi Ndongala se sont retiré de la salle.

  1.  Il sied de souligner que le Président Diomi Ndongala ni ses témoins n’a pas été entendu sur les accusations qui sont portées contre lui. De plus, aucun plaidoyer de la défense n’a été prononcé. Malgré cela, en absence tant de l’accusé que de sa défense, à 23h00, le ministère public a prononcé son réquisitoire dans une salle vide et la Cour a pris l’affaire en délibéré sans avoir entendu ni les plaidoyers de la défense et surtout l’accusé lui-même..

  2. La défense demande une réouverture des débats.

     Il sied aussi de souligner que le Journaliste Eliezer Ntambwe qui avait suivi de l’extérieur de la Cours suprême l’audience et il était en train d’interviewer un avocat de la défense, a été arrêté par des policiers lourdement armée   et conduit vers une destination inconnue et que la famille Diomi et les membres de la DC présents  à l’extérieur de la salle d’audience ont été menacés et brutalisé par les policiers de l’opération Likofi présents à l’extérieur de la salle d’audience.

 Face à ce déni de justice et au déroulement irrégulier et inéquitable du procès politique, la Démocratie Chrétienne prend l’opinion nationale et internationale à témoin de la volonté de condamner coute que coute l’Hon. Eugène Diomi Ndongala qui fait l’objet d’une véritable chasse à l’homme depuis Juin 2012 à cause de ses opinions politiques.

A cela s’ajoute la précarité de son état de santé après des tortures physiques et morales auxquelles il est soumis à cause de son combat pour le respect de la vérités des urnes en RDC après le holdup up électoral de novembre 2011.

Vérité et Justice pour le Congo,

Le 13/03/2014

Marc Mawete,

Porte-Parole

      

 

 irregularite composition des chambres

 irregulier composition des chambres2

 

8 Commentaires Poster un commentaire
  1. Avatar de Johnd819
    Johnd819 #

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    17 juillet 2014
  2. Avatar de Johnk338
    Johnk338 #

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    17 juillet 2014
  3. Avatar de chada
    chada #

    Moi j y était et c était vraiment regrettable d voir cmt esq ntr gouvernement fonctionne e la façon dont francis kalombo insulter tt l monde et sans pudeur et la façon dont Elizier a été capturer franchement ns ki sommes pas ds la majorité ns sommes traité kom d mouches c vraiment regrettable d vivre ds un pays las ou l droits d l homme n pas exercé. Moi je l ‘agissement d nos juge et d Francis kalombo et d policier

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    26 mars 2014
  4. Avatar de Martin MIHIGO BYAMUNGU

    Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et espèrent. C’est par l’inaction des hommes de bien que le mal triomphe .Albert Einstein

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    25 mars 2014
    • Avatar de Martin MIHIGO BYAMUNGU

      Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et espèrent. C’est par l’inaction des hommes de bien que le mal triomphe .Albert Einstein

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      25 mars 2014

Rétroliens & Pings

  1. GRAVES INCIDENTS AU PROCES POLITIQUE CONTRE LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, L’ Hon. EUGENE DIOMI NDONGALA, AU COURS D’UNE ENIEME AUDIENCE NOCTURNE ET A HUIS CLOS LE 12 /03/2014/ LA CSJ VEUT CONDAMANER DIOMI NDONGALA SANS L’ENTENDRE NI ENTE
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  3. GRAVES INCIDENTS AU PROCES POLITIQUE CONTRE LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, L’ Hon. EUGENE DIOMI NDONGALA, AU COURS D’UNE ENIEME AUDIENCE NOCTURNE ET A HUIS CLOS LE 12 /03/2014/ LA CSJ VEUT CONDAMANER DIOMI NDONGALA SANS L’ENTENDRE NI ENTE

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