VIDEO DE LA CONFERENCE DE PRESSE DE ME. KAPIAMBA, COORD. ADJ. DE LA COALITION NATION. DE LA CPI SUR LA DETENTION AU SECRET DU DEPUTE DIOMI NDONGALA
Eugène Diomi Ndongala localisé à l’ANR
Selon le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la CPI et président de l’ACAJ qui a fait cette révélation hier au cours d’un point de presse, ce député de l’Opposition serait en voie d’être transféré dans une prison au Katanga
Le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la cour pénale internationale (CN-CPI) et président de l’Ongdh “Association Congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), Me George Kapiamba, a tenu un point de presse, hier jeudi, à Kinshasa-Gombe.
A cette occasion, il a annoncé qu’après des investigations, le député national de l’Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l’Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe.
RDC : Diomi NDONGALA en voie d’être transféré au Katanga
03/08/2012 11:03:00KongoTimes!
Diomi NDONGALA
Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI et président de l’ACAJ, a annoncé qu’après des investigations, le député national de l’Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l’Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe. Eugène Diomi Ndongala serait en voie d’être transféré dans une prison au Katanga. Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi.
Selon le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la CPI et président de l’ACAJ qui a fait cette révélation hier au cours d’un point de presse, ce député de l’Opposition serait en voie d’être transféré dans une prison au Katanga.
Le coordonnateur adjoint de la coalition nationale de la cour pénale internationale (CN-CPI) et président de l’Ongdh « Association Congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), Me George Kapiamba, a tenu un point de presse, hier jeudi, à l’Hôtel Canna à Kinshasa-Gombe.
A cette occasion, il a annoncé qu’après des investigations, le député national de l’Opposition Eugène Diomi Ndongala est présentement détenu à la 3ème direction de l’Agence nationale de Renseignement (ANR) située en face de la Primature, dans la commune de la Gombe.
Considérant que les faits repprochés à ce député élu sont désisoires, Me Georges Kapiamba exige la libération sans condition de cet opposant proche du président Etienne Tshisekedi.
Le coordonnateur adjoint de la CN-CPI craint que le député Eugène Diomi puisse subir le même sort que les regrettés Armand Tungulu, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana.
D’après la même source, après son enlèvement le 26 juin 2012, ce député a été détenu comme un vulgaire malfrat dans un cachot au camp Tshatshi, puis transferé quelques jours plus tard à la direction 3 de l’ANR où il est détenu jusqu’à ce jour sans recevoir la visite des membres de sa famille ni de ses avocats.
A en croire l’avocat Georges Kapiamba, le pouvoir chercherait à transférer ce député de l’Opposition à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga, pour le réduire au silence pendant les préparatifs et la tenue du XIVème Sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa , au mois d’octobre prochain.
Eugène Diomi est le deuxième député à être arrêté et détenu comme un vulgaire malfrat et sans tenir compte de sa qualité d’élu du peuple au cours de cette législature.
Avant lui, ce traitement dégradant qui traduit toute la brutalité de la nouvelle dictature instaurée au Congo avait été infligé au député Bakungu Mithondeke de l’UNC, actuellement détenu au CPRK (ex-prison de Makala).
La Démocratie chrétienne porte plainte contre inconnus
En effet, des personnes sans titre ni droit, à ce jour non identifiées, ont profité de l’instruction du dossier judiciaire ouvert sous RMP V/IF/PGR/MR, instruit au Parquet général de la République, pour occuper pendant plus de 30 jours le siège de la DC.
Du constat fait par Madame Fuala, ce jour, les biens suivants dont elle a la responsabilité sont perdus : 8 ordinateurs portables HP, 5 ordinateurs fixes HP, 8 écrans plasma LG 42 pouces, 10 splits, une photocopieuse fax avec imprimante, 5 tapis, 15 abat-jours, valises contenant les procès verbaux des élections législatives et présidentielle du 28 novembre 2011 pour la ville de Kinshasa et la province du Bas-Congo, ainsi que les documents administratifs de la DC (Original statut et arrêté d’agrément, liste des membres DC et MPP, correspondance DC et MPP et la somme de 1 850 000 FC en coupures de 500 FC).
Madame Fuala précise que cette liste ne comprend que les biens dont elle avait la responsabilité. A ces faits constitutifs de vols, il y a la destruction des serrures, de plafonds ainsi que des biens meubles du parti. Au regard de ce qui précède, elle sollicite qu’une enquête soit ouverte pour déterminer les auteurs des faits ci-haut dénoncés.
L’affaire Diomi fait des vagues à l’Elysée
Selon le journal L’Interprète du 31 juillet 2012, l’enlèvement et la détention au secret du député Diomi Ndongala, fait état de la grande colère du président français François Hollande qui ne comprend pas qu’un député, couvert d’une immunité parlementaire, soit traité de la sorte en République démocratique du Congo, comme s’il avait commis un crime de lèse-majesté, de haute trahison ou d’atteinte à la sûreté de l’Etat.
C’est ainsi que la France aurait promis de s’associer à l’Union européenne pour faire pression sur le pouvoir de Kinshasa en vue de le mettre au pas sur le chemin du respect des droits de l’homme et surtout de la libération du » prisonnier politique » Eugène Diomi Ndongala.
En plus, une lettre de Madame Patrizia Diomi épouse de Diomi Ndongala, sollicitant le concours de la France pour la libération sans conditions de son mari, serait parvenue à l’Elysée.
Published By www.KongoTimes.info





