TIRS A BALLES REELLES CONTRE LES ETUDIANTS DE L’ACADEMIE DES BEAUX ARTS A KINSHASA

par webmaster le 18 novembre 2015

mise à jour a 18h00 du 18/11/15

Un étudiant blessé par balle après des heurts avec la police à Kinshasa (sources médicales)

Un étudiant a été blessé par balle mercredi à Kinshasa lors de heurts entre la police et des étudiants manifestant contre l’augmentation des frais universitaires, a-t-on appris de sources médicales.

Une journaliste de l’AFP a vu deux autres étudiants blessés, l’un à la tête, l’autre à la jambe. Selon le corps médical, ces blessures ont été causées respectivement par un jet de pierre et une chute.

Selon plusieurs témoins, les heurts ont eu lieu en début d’après-midi à l’Institut supérieur d’architecture et d’urbanisme (ISAU), dans le nord de la capitale congolaise.

« Les forces de l’ordre sont intervenues pour ramener le calme », a déclaré à l’AFP le colonel Pierrot Mwana Mputu, porte-parole de la police nationale congolaise, sans être en mesure de confirmer que les heurts avaient fait des blessés.

Devant l’ISAU, sur la chaussée du boulevard du 24-Novembre, artère très passante, le sol était jonché de pierres et de grenades lacrymogènes, selon la journaliste de l’AFP.

http://www.onewovision.com/actu-rdc/Un-etudiant-blesse-par-balle-apres-des-heurts-avec-la-police-a-Kinshasa-sources-medicales,i-20151118-cd0c

BREAKING NEWS

LE REGIME KABILA A-t-IL ENCORE TUÉ OU BLESSÉ À KINSHASA CE 18 NOVEMBRE A KINSHASA?

Nous apprenons qu’une vive tension est perceptible ce mercredi 18 Novembre 2015 sur l’Avenue de la Libération (ex 24 novembre) à Kinshasa où les étudiants de l’Académie des Beaux-Arts (voir photo) manifestent contre l’augmentation des frais académiques.

« Des coups de feu sont entendus », affirment de nombreux témoins.

Le régime #Kabila risque encore de tuer encore les congolais si ce n’est pas encore fait…
On déplore plusieurs blessés par balles dans les rangs des étudiants.

Selon Sonia Rolley, correspondante RFI à Kinshasa, les tirs à balles réelles et les gaz lacrymogènes ont été jetés contre les étudiants pendant 2 heures.