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POUR L’EGLISE CATHOLIQUE, L’EGLISE KIMABNGUISTE, L’UDPS, KENGO, MBIKAY, KANKU, LA SOCIETE CIVILE…PAS DE NEGOCIATION POLITIQUE POSSIBLE SANS LIBERATION PREALABLE DE M. DIOMI NDONGALA / L’INTERPRETE

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COURSE CONTRE LA MONTRE AU SEIN DES TROIS SERVICES SPECIAUX KABILISTES DANS LE STYLE DE <<QUI SERA LE PREMIER A DETECTER – AVANT LE JOUR J – LES AUTEURS DE LA TENTATIVE DE LA MISE EN ECHEC DU DIALOGUE CONGOLAIS SOUHAITE PAR JOSEPH KABILA>> TANDIS QUE POUR LES NE-KONGO, L’EGLISE CATHOLIQUE, L’EGLISE KIMBANGUISTE, L’UDPS ET LEON KENGO WA DONDO, PAS DE NEGOTIATION POLITIQUE POSSIBLE AVEC LE PRECITE SANS LIBERATION PREALABLE DE M. DIOMI NDONGALA.

 

Pendant que les trois services spéciaux principaux du présent règne politique kabiliste auraient reçu mission de détecter, avant le jour <<J>>, les auteurs de la tentative de mise en échec du dialogue congolais souhaité par le président Joseph Kabila afin de les neutraliser,

les Ne Kongo, l’Eglise catholique, l’Eglise kimbanguiste, L’UDPS de M. Etienne Tshisekedi et l’UCFC de M. Léon Kengo wa Dondo, trouverait qu’il ne serait pas possible de négocier avec l’autorité morale de la Majorité Présidentielle (MP) sans libération préalable de l’opposant radical  Eugène Diomi Ndongala. Aussi vrai que c’est ce dernier qui est l’inspirateur depuis février 2012, des négociations politiques actuelles sur le point d’être organisées dans le pays.

                Les Ne Kongo ne supporteraient pas que ce soient toujours les Bakongo qui continuent à être principalement persécutés dans la politique intérieure de ce pays par le président Joseph Kabila qui n’arrêterait pas peut-être de les prendre pour des faibles et c’est pour cela qu’ils voudraient laver cette fois-ci l’affront que leur fait  régulièrement subir le présent numéro un du pays.

Même les Kimbanguistes penseraient la même chose en considérant que le peuple Kongo est une entité humaine sacrée et qu’on ne doit pas régulièrement fouler au pied comme cela n’en finirait pas de se faire à son encontre par le régime politique kabiliste. Ils trouveraient que si le prophète Simon Kimbangu était vivant en ces jours-ci, il ne supporterait pas les coups de pieds que les siens n’arrêterait pas de subir de la part du présent régime de ce pays.

                Le député national Eugène Diomi Dongala, pour ceux qui ne le savent pas, a été persécuté politiquement depuis l’époque de la Deuxième République en passant par celle du Mzee L-D Kabila jusque pendant le présent règne politique de Joseph Kabila.

Pendant la longue transition politique mobutienne, il avait été le seul opposant à avoir dénoncé publiquement les injections dans la masse monétaire locale de faux billets de Zaïre-monnaie à partir de Mbandaka, dans la province de L’Equateur, et ce pendant que M. Léon Kengo wa Dondo était le premier ministre de l’époque. Conséquence ? Ils avaient été mis aux arrêts et à la disposition de la justice militaire.

Pendant le règne de Mzee L-D Kabila, et pendant que ce dernier avait mis fin à toute sorte d’activités politiques, c’était encore l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala qui avait eu le courage de s’y opposer et avait créé une structure spéciale dénommée << Front pour la Survie de la Démocratie, FSD>> avec comme conséquence qu’il avait été arrêté pour ce faire.

                Il convient de rappeler ici l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala avait été arrêté 15 fois pendant le règne de Mzee L-D Kabila et que c’était chaque trois mois que des barbouzes kabilistes faisaient irruption dans sa résidence de Binza Mont Fleuri pour l’arrêter.

                Le fait qu’il a été malmené, encore que plusieurs fois pendant le règne politique de Joseph Kabila, montre que ce dernier est un opposant politique véritable. Politologue de formation, Eugène Diomi Ndongala est un politicien placé dans la catégorie non-violents et de non vindicatifs en dépit de plusieurs tracasseries lui faites subir par le régime de Joseph Kabila.

                La preuve ? M. léon Kengo wa Dondo dont il avait dénoncé les turpitudes administratives en rapport avec la fausse monnaie sur le franc congolais, ne lui a pas gardé une dent aujourd’hui et c’est pour cela qu’il exigerait la mise en liberté de ce dernier avant l’organisation de négociations politiques souhaitées par Joseph Kabila.

                C’est ainsi que l’UDPS de M. Etienne Tshisekedi abonderait dans le même sens. Il ne faut pas oublier qu’en 2012 lorsque M. Eugène Diomi Ndongala avait présenté à M. Etienne Tshisekedi son idée sur l’organisation d’une négotiation politique avec M. Joseph Kabila, et bien que cette idée est récupérée par le même Joseph Kabila, le président de l’UDPS avait refusé de l’accepter. Malgré cela, M. Eugène Diomi Ndongala était allé loin dans cette négociation tenant à ce que ce soit M. Laurent Monsegwo Pasinya qui puisse en présider les travaux en cas de son acceptation par le président Joseph Kabila.

                Mais voilà qu’aujourd’hui le même Joseph Kabila a capitalisé pour son compte l’idée relative à l’organisation de cette négociation telle que souhaitée, en février 2012, par Eugène Diomi Ndongala mais tout en se mettant en tête de continuer à maintenir le concerné en prison. Ce qui n’est pas normal.

                C’est ainsi que l’Eglise catholique s’en tient également à la libération de M. Eugène Diomi Ndongala por rendre possible l’organisation de ses négociations faute de quoi rien ne pourrait se faire. Cela, pour la simple raison que M. Eugène Diomi Ndongala a commencé subitement à être regardé tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays comme l’homme central de ces négociations souhaitées par Joseph Kabila.

L’INTERPRETE 11/06/2015

un commentaire Poster un commentaire
  1. pontien kadiya #

    nous luttons jusqu’au bout pour la vraie democratie

    Le 11/06/2015, « Démocratie Chrétienne,

    J’aime

    13 juin 2015

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